Exposition


Invitation pour la prochaine séance de l’ Association de Défense des Valeurs de la Résistance qui aura lieu le lundi 3 avril à 16h, salle des fêtes, à la Mairie du 20e.
Conférence de Edouard Sill :« les Brigades internationales dans la guerre d’Espagne (1936-1939) ».
L’action des Brigades internationales dans l’Espagne républicaine s’inscrit dans les premières luttes contre le fascisme en Europe. Cette conférence est soutenue par l’ACER (Amis des combattants en Espagne républicaine).



ATTENTION RECTIFICATIF: Le 22 mars à 19h Projection: MOURIR À MADRID
Article du 17 mars 2023 | 24 aout 1944 | Actualités, Projections
Il y a tout juste 60 ans, en avril 1963, sort sur les écrans parisiens « Mourir à Madrid » Pour les exilés, c’est un évènement.

ATTENTION: Nous sommes contraints de modifier la date de cette projection, pour le respect du mouvement social programmé ce 23 mars. La projection aura donc lieu la veille.
L’association 24 août 1944
vous invite à la projection du documentaire
MOURIR À MADRID
de Frédéric Rossif
(1963 – 90’)
le mercredi 22 mars 2023
L’association 24 août 1944 présente :
MOURIR À MADRID de Frédéric Rossif et Madeleine Chapsal, 1963, 90’
Avec les voix de Suzanne Flon, Jean Vilar, Roger Mollien, Germaine Montero , Pierre Vaneck.
De 19h à 22h00
De plus en plus marginalisés par l’entrée de l’Espagne franquiste à l’ONU en 1955 et par les récentes attaques du régime gaulliste contre les publications socialistes et anarchistes espagnoles, la sortie du film leur donne un souffle d’espoir.
De nouveau on va parler d’eux, de leur histoire, de leur tragédie.
60 ans après sa parution, le découvrir – ou le redécouvrir – devrait mettre en lumière le chemin parcouru, dans un monde qui a changé, par la filmographie et l’historiographie de la guerre civile espagnole.
La projection sera suivie d’un débat.
Le MERCREDI 22 mars 2023 à 19h
Paris’Anim ; Centre Place des Fêtes
2/4 rue des Lilas
75019 Paris
Entrée gratuite

La Résistance à l’heure des réseaux sociaux
Le 30 mars, la soirée culturelle sera consacrée à « La Résistance à l’heure des réseaux sociaux ». A cette occasion, Jean-Christophe Notin, historien et auteur de nombreux ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale et les Compagnons de la Libération, nous fera l’honneur de sa présence et reviendra sur la création de son compte Twitter Paroles de Combattants de la Libération aux 91k 000 abonnés.
Si vous souhaitez assister à la conférence en présentiel, l’inscription est obligatoire !
Pour ceux qui souhaitent suivre la conférence à distance :
– Sur Youtube en live : en vous rendant sur la chaine Youtube de l’Ordre pour suivre la conférence en direct : https://www.youtube.com/@ordredelaliberation8775
(Il n’est pas nécessaire d’avoir un compte sur Youtube pour suivre la conférence)

Jeune communiste résistante originaire du Pays catalan, Rosette Blanc est morte le 15 mars 1943, déportée à Auschwitz, après avoir été arrêtée et torturée par la Gestapo. L’association des Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation (AFMD 66) revient sur le parcours de celle qui s’est battue jusqu’au bout « pour l’indépendance, les libertés et la paix ».

Quelques jours avant le 19 mars 1943, un message personnel était diffusé par la BBC concernant un atterrissage. Le message comprend un code avec les noms Bérénice ou Sirène. La 27 e opération du Bureau central de renseignement et d’action était sur le point d’être lancée…

Immergés dans l’univers des parachutistes SAS de la France libre et des combats de Saint-Marcel, en 1944, les Saint-Cyriens, de Guer (Morbihan), s’inspirent de l’exemple de combattants exceptionnels.
À l’académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan, à Guer (Morbihan), on n’enseigne décidément pas l’histoire de la même manière qu’ailleurs. Après une marche d’infiltration de 35 kilomètres dans la nuit de vendredi à samedi 18 mars 2023, les 182 élèves officiers du 3e bataillon de Saint-Cyr se retrouvent au petit matin au cœur d’un camp de parachutistes SAS. Ce sont les hommes du commandant Bourgoin, parachutés au-dessus de Saint-Marcel en juin 1944.

Spécialiste des États-Unis, Nicole Bacharan se livre, dans son dernier livre, à un exercice inhabituel : raconter l’histoire de sa propre mère. L’histoire d’une jeune résistante de 20 ans qui, en 1944, finit dans les mains d’un des pires tortionnaires de la Gestapo. Rencontre.
Un récit méticuleux, documenté. Un suspense qui monte au fil des pages. Le destin de Ginette Guy bascule aux heures sombres de l’Occupation. Elle vit en zone libre, à Toulouse, où elle est venue de son Lézignan natal. Elle a à peine 20 ans, tombe amoureuse de Jean Oberman, un beau juif venu de Paris durant l’exode. Au fil des mois, l’étau se resserre autour de la communauté juive. En zone libre aussi. Autour de son amoureux, autour de son employeur.
Son destin bascule alors. Ginette choisit son camp et entre en résistance. Elle s’est lancé là-dedans pas conviction, par honnêteté, mais sans savoir
, raconte Nicole Bacharan. Elle savait ce qu’elle risquait comme on peut le savoir à 20 ans, en théorie. Mais sans mesurer vraiment.