Mois : décembre 2024

Participez au Gala du 80ème anniversaire de la Libération des Déportés CONCERT DE LA LIBERTE

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Participez au Gala
du 80ème anniversaire
de la Libération des Déportés
CONCERT DE LA LIBERTE
Mardi 18 mars 2025 | 20h
Théâtre du Châtelet à Paris
Informations et réservations : https://www.afmd.org
Sur les traces en Creuse de l’historien et résistant Marc Bloch, bientôt panthéonisé

Sur les traces en Creuse de l’historien et résistant Marc Bloch, bientôt panthéonisé

Après l’annonce de la panthéonisation de Marc Bloch le week-end dernier par Emmanuel Macron, la fierté envahit le Bourg-d’Hem. C’est dans cette commune de la Creuse que l’historien et résistant a vécu et où il repose.

Au bout d’une allée du cimetière du Bourg-d’Hem en Creuse, le caveau familial des Bloch est encerclé de tombes. Sur ce caveau en granit gris, aucune plaque mais deux mots dorés gravés : « dilexit véritatem », en français « aimer la vérité ». C’est ici que Marc Bloch repose, aux côtés de six proches à lui.

Depuis l’annonce de la panthéonisation du résistant et historien Marc Bloch, samedi 23 novembre, la question de l’avenir des cendres se pose. « Partir à Paris c’est laisser sa famille et il était très attaché à elle », estime Claudine, une habitante d’une commune voisine. « Ce serait quand même mieux parce qu’il reste ici d’autant qu’il est d’ici ». Marc Bloch est né à Lyon mais il venait régulièrement en été dans la maison familiale située dans le hameau des Fougères. « C’est ici qu’il a écrit L’étrange défaite », souligne Robert Deschamps, la maire de la commune. Cet ouvrage est le plus connu de l’historien, il cherche à comprendre les raisons de la débâcle française en juin 1940. Derrière la grille rouillée se dévoile une bâtisse, elle appartient toujours à la famille Bloch.

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Série « La guerre des ondes (1939-1945) » Épisode 5/6 : Les points de fixation

Série « La guerre des ondes (1939-1945) » Épisode 5/6 : Les points de fixation

Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, les propagandes croisées de Radio Londres, Radio-Paris et Radio-Vichy jalonnent l’évolution du conflit. De la question des otages à celle du Service du travail obligatoire, retour, en archives, sur quelques points de fixation.
Avec
Laurent Douzou Professeur émérite d’histoire contemporaine à Sciences Po Lyon et à l’université Lumière Lyon 2
À l’été 1941, avec la Résistance qui s’organise, les attentats se multiplient contre des Allemands sur le sol hexagonal. En riposte, de plus en plus de Français sont pris en otage et nombre d’entre eux sont fusillés pour l’exemple. Sur les ondes de la BBC, on s’en fait l’écho. S’ensuivent une série de prises de parole sur les chaînes de radio des différents camps.Le Service du travail obligatoire (STO) fait suite à un dispositif connu sous le nom de « Relève » qui consiste à libérer un prisonnier pour tout Français qui partirait travailler en Allemagne. Ce système, basé sur le volontariat, n’ayant pas rencontré le succès, partir travailler en Allemagne devient obligatoire, et des centaines de milliers de jeunes Français sont sommés de soutenir l’effort de guerre de l’ennemi. Le principe est présenté différemment sur Radio-Vichy et Radio-Paris. Sur le thème du STO comme sur celui des otages, les radios, plongées dans la guerre, passent quatre années à tenter de convaincre et de gagner les consciences à leur camp.`

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