Au cœur de la Résistance dans le roman « Moi, Oscar Ziegler, dernier compagnon de la Libération » de Henri Weill

Au cœur de la Résistance dans le roman « Moi, Oscar Ziegler, dernier compagnon de la Libération » de Henri Weill

Journaliste et historien, Henri Weill connaît particulièrement bien la période de la seconde guerre mondiale. Un savoir qu’il a utilisé pour signer son premier roman, « Moi, Oscar Ziegler, dernier compagnon de la Libération ». Un roman car il fait parler, à la première personne, le dernier compagnon de la Libération. Une vie imaginaire avec pourtant, on s’en doute, beaucoup de réalité. Le jeune Ziegler a 17 ans et réside à Bordeaux quand le maréchal Pétain prend le pouvoir et signe l’armistice. Inadmissible pour ce Français. Avec deux de ses amis d’école, il décide de se rendre au Pays basque pour tenter de rejoindre l’Angleterre où un général (un certain de Gaulle) serait en train de recruter ce qui deviendra les Forces françaises libres.
Un périple en bateau, une formation rapide, et un premier poste au service du général. Mais ça ne durera pas. Oscar Ziegler admire le grand homme, mais il a signé pour en découdre. Il partira donc au combat. L’Afrique puis la Syrie. Un parcours jalonné de nombreuses pertes et la découverte que l’armée française à l’étranger est souvent restée fidèle à Pétain. Des combats fratricides qui le marqueront.
Puis il revient en Angleterre et change d’affectation. Il sera un des hommes de la Section A, chargé de parachuter des soldats en France occupée pour superviser des sabotages avec la Résistance intérieure.

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