Auteur/autrice : JNR-CPL

Michèle Agniel, une adolescente dans la Résistance française

Michèle Agniel, une adolescente dans la Résistance française

Envoi de tracts illégaux, cache d’aviateurs américains ou anglais, fabrique de faux papiers… Dès ses 14 ans puis au sein du réseau « Bourgogne », Michèle Agniel participe activement à la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. En 1944, ses parents et elle sont arrêtés sur dénonciation et déportés. Elle raconte.

« Tu n’as plus le droit de te taire », lui a dit un jour sa mère face à la montée du négationnisme. Alors la Française Michèle Agniel s’est mise à raconter la guerre, la Résistance et la déportation à Ravensbrück, en Allemagne. À l’été 1940, elle n’a que 14 ans mais dire non à l’occupant allemand est pour elle une évidence. Les uniformes vert-de-gris partout dans Paris, les drapeaux nazis aux façades et Radio Paris qui répand sa propagande collaborationniste… le retour dans la capitale a été un choc.

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À Châteaulin, bientôt des plaques dignes de ce nom pour les héros de la Résistance Réservé aux abonnés

À Châteaulin, bientôt des plaques dignes de ce nom pour les héros de la Résistance Réservé aux abonnés

À Châteaulin et Port-Launay, les grands noms de la Résistance française, lors de la Seconde Guerre mondiale, auront, sous l’impulsion de l’Anacr, des plaques de rues neuves et plus modernes.

Elle veut sortir de l’ombre les quelques noms de la Résistance française qui ont ferraillé face à l’Occupation durant la Seconde Guerre mondiale, dans le pays de Châteaulin. Plus que jamais, l’Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance (Anacr) poursuit son travail de mémoire en collectant archives, coupures de presse, clichés… Une mission d’autant plus essentielle que se profilent en 2024 les 80 ans de la Libération. Nul doute que la section châteaulinoise, forte de 27 adhérents (en hausse malgré le décès de quatre membres l’an passé) continuera d’éclairer la mémoire de ces héros.

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Meilleurs films sur la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale, classés

Meilleurs films sur la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale, classés

Il y a beaucoup de films sur la Seconde Guerre mondiale, mais certains des meilleurs films jamais réalisés concernent la Résistance française. Bien que le gouvernement français tombe au printemps 1940, la Résistance continue à combattre les nazis et les collaborateurs. Il en est résulté d’innombrables héros anonymes qui ont risqué leur vie chaque jour pour résister au nazisme et aider les Alliés à combattre les puissances de l’Axe, et il y a une myriade d’histoires à raconter sur ces âmes courageuses. Voici quelques-uns des meilleurs films sur la Résistance française de la Seconde Guerre mondiale.

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Jean Pasdeloup, 99 ans, le dernier des combattants de la Résistance en Eure-et-Loir

Jean Pasdeloup, 99 ans, le dernier des combattants de la Résistance en Eure-et-Loir

A 99 ans, cet enfant de Maillebois est le dernier maquisard eurélien encore vivant, à avoir participé aux combats de la Résistance française, notamment lors de l’assaut du Mont Valérien.

Jean Pasdeloup, originaire de Maillebois, est le dernier combattant de la Résistance encore vivant, en Eure-et-Loir. Ce maquisard de 99 ans, qui vit dans une résidence senior, à Vernouillet, est un soldat, contrairement à sa “sœur d’armes” de Thivars, Simone Segouin, disparue mardi 21 février 2023.

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Qui était Simone Segouin, dernière résistante d’Eure-et-Loir, morte à 97 ans ?

Qui était Simone Segouin, dernière résistante d’Eure-et-Loir, morte à 97 ans ?

Simone Segouin s’était engagée dans la résistance eurélienne à seulement 18 ans en 1944, et avait fui les honneurs le reste de sa vie. Elle est décédée ce mardi 21 février à Courville-sur-Eure, à l’âge de 97 ans.

Une page de l’Histoire se tourne. Ce mardi 21 février, L’Écho républicain a appris le décès, à 97 ans, de Simone Segouin, survenu à Courville-sur-Eure. Cultivant une certaine discrétion, loin des honneurs et des fastes cérémoniels, elle avait pourtant participé, dès ses 18 ans, à la Résistance en Eure-et-Loir.

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Réflexion sur les images clandestines des camps de la mort

Réflexion sur les images clandestines des camps de la mort

Depuis 20 ans, Christophe Cognet mène une réflexion sur les images clandestines des camps de la mort auxquelles il a consacré plusieurs articles, un livre et quatre films documentaires.
Son livre « Éclats, prises de vue clandestines des camps nazis », publié aux Editions du Seuil et cité dans Le Monde des Livres parmi les 5 meilleurs essais de 2019, a été écrit pendant la préparation d’𝐀 𝐏𝐀𝐒 𝐀𝐕𝐄𝐔𝐆𝐋𝐄𝐒.
Ce film, construit comme une enquête historique, part sur les traces des déportés, au courage inouï, qui ont pris des photographies des camps de concentration et d’extermination, au péril de leur vie, pour en témoigner au reste du monde.
Un geste de cinéma puissant en salle dès le 15 mars.