Catégorie : Actualité de la Résistance

Nîmes, 25 août 1944: des partisans allemands dans la résistance française

Nîmes, 25 août 1944: des partisans allemands dans la résistance française

Beaucoup ont quitté l’Allemagne après l’incendie du Reichstag, en 1933. Durant la guerre d’Espagne, ils se sont battus aux côtés des Républicains, contre les troupes du général Franco. Entre 1941 et 1943, certains ont pris part au « travail allemand » qui rassemblaient des germanophones chargés de pénétrer la machine de guerre nazie. Ensemble, ils ont rejoint le maquis dans les Cévennes, partisans athées dans une terre protestante, résistante elle aussi.

C’est un monument comme on en trouve un peu partout ailleurs, dans chaque département, le long des routes, aux murs des villes et des villages, de ceux qui commémorent la petite minorité résistante qui a participé à la libération de la France de l’oppresseur nazi. Nous sommes au col de Bonnecombe, sur les monts d’Aubrac, en Lozère.

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Dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant »

Dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant »

Le numéro de L’Histoire de septembre est disponible chez votre marchand de journaux et sur notre site !
Ce mois-ci, un dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant » à l’occasion de son entrée au Panthéon en juin prochain.
MÉMOIRE de la RÉSISTANCE

MÉMOIRE de la RÉSISTANCE

AUJOURD’HUI ….
Mercredi 8 septembre 2025 !
Faisons vivre le souvenir de l’engagement de toute une vie au service des Libertés et de la démocratie Républicaine, d’un engagement Communiste sans faille !
Sans jamais plier devant l’injustice, sans jamais oublier ceux qui sacrifièrent leur vie au stand de tir de Balard , au mont Valérien, guillotinés comme André BRÉCHET compagnon de clandestinité de Tanguy et guillotiné dans la Prison parisienne de la rue de la Santé ! Ou en Allemagne comme Olga BANSIC et guillotinée dans la prison de Stuttgart le 10 mai 1944.
Et ceux ensevelis dans des fosses communes anonymes ou parfaitement identifiées comme dans le cimetière parisien d’IVRY où l’oubli est mis en pièces par négligence administrative grave et couverte par des responsables politiques réactionnaires .
Le parcours du combattant Henri ROL-TANGUY et de son épouse Cécile demeure un exemple pour les générations en devenir si nous prenons garde à conserver la MÉMOIRE de la RÉSISTANCE !
Henri ROL-TANGUY cesse la lutte le dimanche 8 septembre 2002 .
Cinq années plus tôt en juin 1997 j’ai eu l’honneur de l’accueillir pour le vernissage d’une exposition commémorant le 60 eme anniversaire des BRIGADES INTERNATIONALES en Espagne Républicaines.
Une exposition préparée avec Rémi SKOUTELSKI et Jacques GAUCHERON résistant en grande banlieue et participant au combat d’août 1944 de Paris , poète, professeur de philosophie, militant communiste .
Pendant trois jours étaient réunis autour de l’exposition, ROGER LINET responsable de la Résistance parisienne il est arrêté au début de l’année 1943 et déporté Au camp de NATZWEILER STRUTHOF, puis DACHAU à son il devient le secrétaire du syndicat CGT de la RNUR Billancourt.
ANDRE TOLLET, le président du Comité Parisien de la Libération ils vont rassembler autour d’eux les salariés Col bleu Col blanc en des auditeurs attentifs suscitant des questions qui obtiennent des réponses toutes et tous découvrant l’histoire cruelle de l’ESPAGNE RÉPUBLICAINE, de Guernica, et l’extension à la Résistance Française si étroitement liés .
Ci-après des souvenirs photographiés par l’auteur et un courrier qu’il conserve précieusement portant le témoignage de la satisfaction de ROL TANGUY d’avoir échangé avec le monde du travail qu’il connaissait lui l’ancien ouvrier de chez Talbot , Renault, Bréguet d’où il fut licencié après avoir créé la section Syndicale, puis responsable permanent du syndicat des travailleurs de la Métallurgie qu’il quitte pour aller combattre le fascisme international en Espagne républicaine.
Musée de la Résistance Nationale présente cinq expositions itinérantes.

Musée de la Résistance Nationale présente cinq expositions itinérantes.

Le Réseau – Musée de la Résistance Nationale présente cinq expositions itinérantes.
– Les fusillés de l’Affiche rouge, Missak, Mélinée et le groupe Manouchian
– Les « 31000 » Femmes, résistantes, déportées
– Aux Armes citoyens ! La Résistance et les symboles de la République
– L’Armée des ombres
– Graffitis pour mémoire, exposition du Mémorial national des femmes en résistance et en déportation
De nombreux établissements scolaires, collectivités territoriales, associations les ont déjà réservées.
Réservation pass culture pour les établissements scolaires.
informations et contact : expo.manouchian.mrn@gmail.com
« Frères d’ombre », le livre-hommage aux résistants du groupe « Ceux de Lucien-Sampaix »

« Frères d’ombre », le livre-hommage aux résistants du groupe « Ceux de Lucien-Sampaix »

C’est un nouvel éclairage sur la seconde guerre mondiale dans le sud-ouest. Cet ouvrage de Serge Ruaud revient sur l’histoire de jeunes résistants qui, en Dordogne et en Corrèze, se sont opposés à l’ennemi et au gouvernement de Vichy. Un récit fondé sur des archives et des témoignages.

Ils s’étaient baptisés « Ceux de Lucien-Sampaix », en hommage à un journaliste du journal l’Humanité fusillé par les Allemands. Le 29 janvier 1944, ils signent l’une des actions les plus spectaculaires de la résistance en Dordogne. A la nuit tombée, ils traversent les rails de la gare de Périgueux. Direction le dépôt des locomotives. Quatorze d’entre elles exploseront cette nuit-là.

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La Résistance sur le Lévézou en 1944

La Résistance sur le Lévézou en 1944

À l’occasion des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le PETR Syndicat mixte du Lévézou a lancé un projet ambitieux pour transmettre l’histoire de la Résistance locale et honorer la mémoire des combats et sacrifices de 1944. Entre juin et août 1944, le Lévézou fut le théâtre d’affrontements entre les maquisards et les troupes d’occupation, marqués par de violents combats et des représailles contre les civils.

Ce projet s’est articulé autour de quatre axes majeurs, mêlant mémoire, culture et transmission aux générations futures.

1. Valorisation des stèles commémoratives du Lévézou

Pour préserver et mettre en lumière les lieux de mémoire, une carte dépliante a été créée. Elle retrace les événements de 1944 en indiquant les sites des combats, ainsi que les lieux marqués par les exactions des troupes nazies en retraite. Un outil pédagogique essentiel pour explorer l’histoire locale.

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L’extraordinaire épopée du Guinéen Addi Bâ dans la résistance vosgienne

L’extraordinaire épopée du Guinéen Addi Bâ dans la résistance vosgienne

En 2017, le cinéma s’intéresse à la vie d’Addi Bâ, résistant longtemps oublié. Le film est tourné au Fort d’Uxegney, au Palais du Gouvernement à Nancy, à Gérardmer, Senones, Rambervillers, Fraize, avec une belle distribution : Marc Zinga, Alexandra Lamy, Louane, Pierre Deladonchamps…

Soixante ans après les faits, l’action du jeune Guinéen Addi Bâ est enfin reconnue. Il entre dans la Résistance après avoir combattu dans l’armée française (jusqu’à la « débâcle » et l’armistice) au sein d’un corps de Tirailleurs sénégalais. Autour de Tollaincourt, dans la région de Lamarche, il organise des équipes de résistants et participe à la création du premier maquis vosgien, aidé par la population et par son charisme et sa gentillesse. C’est principalement grâce aux enquêtes et à la détemination de deux hommes que l’histoire d’Addi Bâ sort des oubliettes : le colonel Maurice Rives et le journaliste Etienne Guillermond, auteur de plusieurs ouvrages sur ce « héros vosgien » et originaire de Tollaincourt. Etienne Guillermond sera ce soir à Neufchâteau, à 19h, à l’invitation de la Ligue des droits de l’homme, pour une rencontre-débat précédée de la projection du film « Nos patriotes ».

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La famille de Gaulle remet le manuscrit de l’appel du 18 juin à l’État : « Ce texte fait partie du patrimoine du pays », approuve un biographe du général

La famille de Gaulle remet le manuscrit de l’appel du 18 juin à l’État : « Ce texte fait partie du patrimoine du pays », approuve un biographe du général

« Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. » C’est par ses mots que le général De Gaulle, parti à Londres chercher le soutien du Royaume-Uni, incite les Français à ne pas renoncer, alors que quatre jours plus tard, le maréchal Pétain signait l’Armistice avec les Allemands.

La famille du général de Gaulle va remettre jeudi 12 juin à l’État le manuscrit de son appel du 18 juin 1940, a annoncé vendredi la maison d’enchères Artcurial. « Je trouve ça très bien parce que, à partir du moment où c’est l’État qui possède ce manuscrit, ça le met à l’abri des aléas de succession… On ne sait jamais ce qui peut arriver dans une famille, même très illustre », confie l’historien et biographe du général, Éric Roussel, joint par franceinfo.

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Journée nationale de la Résistance et Rallye Citoyen

Journée nationale de la Résistance et Rallye Citoyen

La cérémonie de la Journée Nationale de la Résistance, célébrée le 27 mai, a exceptionnellement eu lieu ce jeudi 5 juin à L’Aigle (Orne) parallèlement au Rallye Citoyen.

A l’occasion de la Journée nationale de la Résistance, jeudi 5 juin, près de 300 élèves du lycée Napoléon et des collèges Dolto, Foch et Molière, à L’Aigle (Orne) ont participé au Rallye Citoyen, un moyen ludique de tester leurs connaissances sur les institutions.

Lors de chaque atelier, les groupes étaient invités à répondre à onze questions sur des thématiques différentes.

Parallèlement, les élèves de la classe Défense assuraient la collecte des résultats tout au long de la journée.

Leur avenir est compromis : ces élèves de l’Orne manifestent devant leur lycée
Munis d’un plan et d’horaires à respecter, les élèves ont arpenté la ville, en passant par la mairie, la police municipale, la médiathèque, l’UNA, l’office du tourisme… « C’est amusant, on apprend des choses », raconte Inaya, élève du collège Molière.

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