Catégorie : Actualité de la Résistance

Documentaire : le père Corentin Cloarec, une figure oubliée de la Résistance

Documentaire : le père Corentin Cloarec, une figure oubliée de la Résistance

Un documentaire du « Jour du seigneur » retrace le destin du religieux Corentin Cloarec. Le jour du Seigneur
Un documentaire inédit du Jour du Seigneur, diffusé dimanche 14 septembre sur France 2 et disponible sur la plateforme france.tv, retrace le destin du religieux franciscain Corentin Cloarec, résistant assassiné par la Gestapo en 1944. À travers archives, témoignages et reconstitutions, il redonne vie à une figure héroïque méconnue.

« J’offre ma vie à mes frères et à mon pays » : ce sont les dernières paroles du père Corentin Cloarec (1894-1944), figure oubliée de la résistance, mis à l’honneur dans un documentaire réalisé par Emmanuel Querry, produit par le Jour du Seigneur et diffusé sur France 2, dimanche 14 septembre, « Père Corentin, martyr de la…

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La commune reçoit la médaille de la Résistance de William Short

La commune reçoit la médaille de la Résistance de William Short

Actualités. Les 80 ans de la Libération et de la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont été l’occasion de rappeler les sacrifices des hommes et des femmes qui se sont battus contre la barbarie nazie, dont William Short fait partie. Ce sujet britannique, membre de la Résistance, est tombé sous les balles allemandes, le 22 août 1944 à Tortebesse.

Thibaut Fouris, originaire de Saint-Sauves, passionné d’histoire et de sa commune, a travaillé sur l’histoire de ce combattant qui était réfugié à Saint-Sauves. Il a aussi effectué les démarches nécessaires pour faire décerner la médaille de la Résistance française à William Short à titre posthume : par décret…

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Courrier à Madame la Procureur de Quimper

Courrier à Madame la Procureur de Quimper

Suite à la réaction de face book (voir ci dessous copie de la réponse) à ma demande de faire disparaitre des écrans une organisation d’extrême droite et le refus de facebook, voici le courrier que j’ai adressé à Madame la Procureur de Quimper :
Madame la Procureure de la République
Tribunal judiciaire de Quimper 48, quai de l’Odet 29000 Quimper
Madame la Procureure
Je suis Monsieur Guy Hervy demeurant à……………………………………………..je viens vers vous pour vous signaler un fait qui de mon avis et expérience relève de la lutte contre les associations promouvant une idéologie raciste antisémite faisant l’apologie de la violence nationaliste et fasciste intervenant sur le territoire de votre juridiction.
J’ai signalé à l’administration de Facebook que l’espace occupé sur son réseau par le Parti National Breton devait être fermé tant ses rédacteurs se portaient héritier de la mémoire d’une association criminelle du même nom qui a sévi en Bretagne en particulier dans le Finistère durant les années noires de l’occupation et était un des piliers de la collaboration, de la répression et des persécutions. Facebook m’a répondu que ces affichages ne contrevenaient pas aux codes qui pilotent le dit réseau social. Je pense moi qu’ils tombent sous le coup des lois dites loi Gayssot et celles antérieures, en rappelant que la justice, dès 1944, a prononcé un certain nombre de condamnations des membres de ce PNB, soit en présence des accusés soit par contumace, avec dans le droit de l’époque des peines capitales, d’autre de prisons accompagnées de déchéance des droits civiques.
Dans le moment où les idéologies fascistes et néo-nazies les pratiques violentes de l’extrême droite décomplexée sont croissantes, je pense qu’il est nécessaire que la justice de notre pays y mette un coup d’arrêt tant pour les auteurs des faits que pour ceux qui permettent la diffusion de leurs idées.
Dans l’attente des suites que vous pensez pouvoir donner à ce courrier, je vous prie d’agréer Madame la Procureure de la République mes plus respectueuses salutations.
J’ai donc suivi ce que dit fb et utilisé d’autres options.
Persiste et signe.
Commémorer la Libération et la Résistance : une lutte contre « l’amnésie collective »

Commémorer la Libération et la Résistance : une lutte contre « l’amnésie collective »

Le 81e anniversaire de la libération de Vierzon a été célébré, jeudi 4 septembre, par une série d’hommages et de cérémonies.

Lundi 4 septembre 1944, en fin d’après-midi, une Traction, mitrailleuse sur le garde-boue, sillonne les rues de Vierzon. Aucun soldat allemand n’est visible. À 21 heures, Vierzon retient son souffle. La rumeur enfle. La ville est libre. Les premiers drapeaux français apparaissent aux fenêtres et les cloches de Notre-Dame sonnent à toute volée. »

Devant le monument aux morts du square Lucien-Beaufrère, jeudi après-midi, la maire de Vierzon, Corinne Ollivier, a rappelé ces instants cruciaux de la libération de la cité. Comme chaque année, la ville a célébré l’anniversaire de ce jour historique par plusieurs cérémonies, en différents endroits symboliques.

Un hommage à deux figures de la résistance
La municipalité a rendu hommage à Georges Rousseau, résistant, déporté et maire de Vierzon, devant sa tombe, au cimetière de Vierzon-Village, ainsi qu’à Léo Mérigot, résistant, président du comité local de libération, maire, et à Maurice Caron, résistant, déporté, maire lui aussi, au cimetière de Vierzon-Ville.

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« Ceux de Manouchian » : de la guerre d’Espagne à la Résistance, l’engagement arménien dans les luttes du XXe siècle

« Ceux de Manouchian » : de la guerre d’Espagne à la Résistance, l’engagement arménien dans les luttes du XXe siècle

L’historienne Astrig Atamian retrace un pan parfois méconnu de l’histoire de France et ses implications internationales, en publiant Ceux de Manouchian.

Dans son essai, Ceux de Manouchian, l’historienne Astrig Atamian retrace l’évolution culturelle, sociale et politique de la diaspora arménienne à travers trois générations. Elle étudie leur histoire par le prisme du mouvement communiste « Garmir » – les rouges – qui influence largement les Arméniens en France et dont Missak Manouchian, résistant Franc-tireur et partisan-Main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI), récemment panthéonisé, est le symbole.

Ce récit débute par le drame du génocide arménien…

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Nîmes, 25 août 1944: des partisans allemands dans la résistance française

Nîmes, 25 août 1944: des partisans allemands dans la résistance française

Beaucoup ont quitté l’Allemagne après l’incendie du Reichstag, en 1933. Durant la guerre d’Espagne, ils se sont battus aux côtés des Républicains, contre les troupes du général Franco. Entre 1941 et 1943, certains ont pris part au « travail allemand » qui rassemblaient des germanophones chargés de pénétrer la machine de guerre nazie. Ensemble, ils ont rejoint le maquis dans les Cévennes, partisans athées dans une terre protestante, résistante elle aussi.

C’est un monument comme on en trouve un peu partout ailleurs, dans chaque département, le long des routes, aux murs des villes et des villages, de ceux qui commémorent la petite minorité résistante qui a participé à la libération de la France de l’oppresseur nazi. Nous sommes au col de Bonnecombe, sur les monts d’Aubrac, en Lozère.

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Dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant »

Dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant »

Le numéro de L’Histoire de septembre est disponible chez votre marchand de journaux et sur notre site !
Ce mois-ci, un dossier spécial consacré à « Marc Bloch : l’historien combattant » à l’occasion de son entrée au Panthéon en juin prochain.
MÉMOIRE de la RÉSISTANCE

MÉMOIRE de la RÉSISTANCE

AUJOURD’HUI ….
Mercredi 8 septembre 2025 !
Faisons vivre le souvenir de l’engagement de toute une vie au service des Libertés et de la démocratie Républicaine, d’un engagement Communiste sans faille !
Sans jamais plier devant l’injustice, sans jamais oublier ceux qui sacrifièrent leur vie au stand de tir de Balard , au mont Valérien, guillotinés comme André BRÉCHET compagnon de clandestinité de Tanguy et guillotiné dans la Prison parisienne de la rue de la Santé ! Ou en Allemagne comme Olga BANSIC et guillotinée dans la prison de Stuttgart le 10 mai 1944.
Et ceux ensevelis dans des fosses communes anonymes ou parfaitement identifiées comme dans le cimetière parisien d’IVRY où l’oubli est mis en pièces par négligence administrative grave et couverte par des responsables politiques réactionnaires .
Le parcours du combattant Henri ROL-TANGUY et de son épouse Cécile demeure un exemple pour les générations en devenir si nous prenons garde à conserver la MÉMOIRE de la RÉSISTANCE !
Henri ROL-TANGUY cesse la lutte le dimanche 8 septembre 2002 .
Cinq années plus tôt en juin 1997 j’ai eu l’honneur de l’accueillir pour le vernissage d’une exposition commémorant le 60 eme anniversaire des BRIGADES INTERNATIONALES en Espagne Républicaines.
Une exposition préparée avec Rémi SKOUTELSKI et Jacques GAUCHERON résistant en grande banlieue et participant au combat d’août 1944 de Paris , poète, professeur de philosophie, militant communiste .
Pendant trois jours étaient réunis autour de l’exposition, ROGER LINET responsable de la Résistance parisienne il est arrêté au début de l’année 1943 et déporté Au camp de NATZWEILER STRUTHOF, puis DACHAU à son il devient le secrétaire du syndicat CGT de la RNUR Billancourt.
ANDRE TOLLET, le président du Comité Parisien de la Libération ils vont rassembler autour d’eux les salariés Col bleu Col blanc en des auditeurs attentifs suscitant des questions qui obtiennent des réponses toutes et tous découvrant l’histoire cruelle de l’ESPAGNE RÉPUBLICAINE, de Guernica, et l’extension à la Résistance Française si étroitement liés .
Ci-après des souvenirs photographiés par l’auteur et un courrier qu’il conserve précieusement portant le témoignage de la satisfaction de ROL TANGUY d’avoir échangé avec le monde du travail qu’il connaissait lui l’ancien ouvrier de chez Talbot , Renault, Bréguet d’où il fut licencié après avoir créé la section Syndicale, puis responsable permanent du syndicat des travailleurs de la Métallurgie qu’il quitte pour aller combattre le fascisme international en Espagne républicaine.