Un village français, la série sur l’occupation entre 1940 et 1944

Un village français, la série sur l’occupation entre 1940 et 1944

Dans l’épisode 82 d’Histoire en séries Marjolaine Boutet présente la série française sur l’occupation durant la Seconde Guerre mondiale : Un village français.

Marjolaine Boutet (*) présente ici la série Un village français qui retrace la vie d »une ville fictive française, Villeneuve, entre 1940 et 1945. Elle montre comment les personnages fictifs permettent à Frédéric Krivine qui a écrit le scénario et à son conseiller historique Jean Pierre Azéma de décrire la vie des Français pendant cette période troublée. On peut y voir les notions de collaboration, de résistance mais aussi d’accommodement. On y voit aussi le sort des juifs, les compromissions avec les Allemands puis le temps de la Libération et de l’épuration.

Plus d’infos sur https://www.histoireenseries.com

(*) Marjolaine Boutet est maîtresse de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Picardie-Jules Verne, spécialiste des séries TV et des représentations de la guerre. Elle est l’auteure de Les Séries Télé pour les Nuls (PUF, 2009), Sériescopie : guide thématique des séries télé (avec Pierre Sérisier et Joël Bassaget, Ellipses, 2011), Vampires : au-delà du mythe (Ellipses, 2011), Cold Case : la mélodie du passé (PUF, 2013), La bataille de la Somme : l’hécatombe oubliée (avec Philippe Nivet, Tallandier, 2016) et Un Village français : une histoire de l’Occupation (La Martinière, 2017). Elle chronique les séries télévisées pour le magazine Phosphore et dans l’émission Une heure en séries sur France Inter, et elle est membre des comités éditoriaux des revues TV/Series, Le Temps des Médias et Saisons.

Diffusion du documentaire  » Résistance : le maquis du Limousin « 

Diffusion du documentaire  » Résistance : le maquis du Limousin « 

Le 19 mars 2021 – Sur RMC Découverte à 21h10

À l’occasion d’une soirée autour de la Seconde Guerre mondiale, découvrez sur RMC découverte l’histoire du maquis du Limousin. Entre échecs, succès, triomphes, ce maquis est le symbole de la Résistance française. De 1940 à 1944, son histoire va être jalonnée d’événements marquants, comme les exactions de la 2ème division SS Das Reich. Le documentaire réalisé par Sonia Dauger et coproduit par TV Presse et Cairn Films a bénéficié du soutien à l’audiovisuel du ministère des Armées.

Le maquis du Limousin, l’un des plus puissants de France

L’histoire du Maquis du Limousin démarre en 1940, avant même l’appel du Général de Gaulle. Il concentre dans sa genèse, son déroulement, ses succès, ses échecs et son triomphe, toute l’histoire de la résistance française.

Entre les tracts, les sabotages, les guérillas, le maquis du Limousin devient vite l’un des maquis les plus actifs de la Seconde Guerre mondiale. Pendant quatre ans ils vont combattre sans relâche, quatre années qui concentrent tous les ressorts d’une épopée historique hors norme.

Fort de sa révolte obstinée et de sa farouche indépendance, le Limousin réussira l’incroyable exploit de se libérer seul en 1944, au prix de l’un des plus lourds tributs de guerre avec les massacres de Tulle et d’Oradour-sur-Glane, perpétrés par la tristement célèbre division SS.

Deux grandes figures de la Résistance limousine

Le documentaire retrace les actions de deux grandes figures incarnant la Résistance limousine : Georges Guingouin, instituteur communiste, et Edmond Michelet, père de famille nombreuse de la bourgeoisie catholique, que tout semblait opposer, mais qui ont, chacun avec leurs méthodes et leur idéal, combattu pour la libération de la France.

« Résistance : le maquis du Limousin »
Un film documentaire réalisé par Sonia Dauger
Une durée de 52 minutes
Une coproduction de TV Presse et CAIRN FILMS
Soutenu par le ministère des Armées

 

Visionner la bande annonce du film

Brest. Une conférence en ligne autour de la Résistance

Brest. Une conférence en ligne autour de la Résistance

La Maison de la langue et de la culture bretonnes du Pays de Brest (Finistère) organise une conférence sur le thème de la Résistance, mardi 30 mars 2021. L’occasion de mettre en avant les femmes et les hommes, qui se sont battus pour la liberté.

La Maison de la langue et de la culture bretonnes du Pays de Brest (Finistère) organise une conférence en ligne « Résistance à Brest, de l’histoire à la mémoire ». Elle sera animée sur la page Facebook de Sked par Gildas Priol, mardi 30 mars 2021.

La ville de Brest fait partie du cercle restreint des collectivités récipiendaires de la médaille de la résistance française. Cette distinction rend hommage à l’action globale des résistants brestois qui luttèrent de 1940 à 1944, contre l’occupant nazi.

Ces héros de l’ombre
Dans le cadre de son label ville d’art et d’histoire, la Ville et les Brestois sont soucieux de collecter, préserver et diffuser l’identité des femmes et hommes, héros de l’ombre, engagés dans la lutte pour la liberté. De cette volonté est né le site internet participatif « Mémoires des résistants du Pays de Brest », qui vise à regrouper près de 5 000 notices biographiques.

Cette conférence rappellera dans les grandes lignes l’histoire de la résistance à Brest et présentera le travail de mémoire mené pour la conservation de ce patrimoine humain.

Mardi 30 mars 2021, à 18 h 30. Conférence accessible aux personnes n’ayant pas de compte Facebook sur inscription par mail (degemer@sked.bzh).

 

Le Résistant Georges Kieffer, dernier déporté de Dinan, s’est éteint

Le Résistant Georges Kieffer, dernier déporté de Dinan, s’est éteint

igure de la Résistance, Georges Kieffer était le dernier déporté de Dinan encore en vie. Il s’est éteint à l’âge de 100 ans, dans la nuit de samedi à dimanche. Sa traversée de la guerre est digne d’un roman.
Résistant capturé par la Gestapo, déporté à Dachau, évadé… Le Dinannais Georges Kieffer ne cessait de rappeler les dangers du retour du nationalisme. Il s’est éteint dans la nuit de samedi 13 au dimanche 14 mars 2021, à l’âge de 100 ans. (DIN – B141A)
Résistant, déporté à Dachau à la veille de la Libération, avant de s’évader et de retrouver Laure, son agent de liaison dans la Résistance, avec qui il se mariera… Georges Kieffer s’est éteint dans son sommeil dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 mars, à son domicile de Dinan. Il avait fêté ses 100 ans en août dernier. C’était le dernier déporté dinannais encore en vie.

De Strasbourg à Moscou jusqu’à la Bretagne
Né en 1920 à Strasbourg (67), Georges Kieffer est engagé volontaire dans l’armée française, avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Au cours du conflit, il sera blessé à la tête, lors d’une attaque d’avions allemands. La signature de l’armistice, le 22 juin 1940, résonne de façon particulière pour le jeune Alsacien de 20 ans. « L’Alsace a été annexée, je suis devenu sujet allemand ! », racontait-il au Télégramme en 2016. Refusant d’intégrer l’armée nazie, le voilà envoyé de force à l’entretien des routes allemandes. Il ira même travailler en Russie, refaire des routes près de Moscou, dans le cadre de l’opération Barbarossa.

Il faut que la jeunesse sache ce qu’il s’est passé
Le Reich l’envoie alors à Saint-Malo pour aider à la construction des fortifications du Mur de l’Atlantique. Fonction stratégique, qui va rapidement attirer l’attention d’un réseau de Résistance local. « On allait souvent dans un café à Dinard, Chez Victor. C’est là que les premiers contacts ont eu lieu avec la Résistance. Je n’ai su qu’après qu’il s’agissait du réseau anglais Buckmaster. Je suis devenu agent de renseignement », racontait celui qui fournissait les plans des blockhaus et sabotait les chantiers. Dans la Résistance, Georges rencontre sa future femme, Laure Back, son agent de liaison.

« Déserteur terroriste »
En novembre 1943, le Reich lui ordonne à nouveau de rejoindre l’armée nazie. Georges Kieffer refuse, tente de fuir, mais est arrêté par la Gestapo. Emprisonné à Saint-Malo, puis Rennes, le « déserteur terroriste » est condamné à mort, le 6 juin 1944, et déporté le 3 août en wagons à bestiaux, alors que les Américains libéreront Rennes le lendemain.

Après un éprouvant voyage de quinze jours jusqu’à Belfort, il passe dans plusieurs prisons allemandes et finit dans une forteresse du camp de concentration de Dachau (Pologne). Il y sera torturé. Un bombardement allié lui permettra de s’évader, le 30 mars 1945. Il se réfugie dans une ferme, où un paysan allemand anti-nazi et son prisonnier de guerre français l’aident.

Georges Kieffer lisant un discours lors de la cérémonie du Souvenir de la déportation, en 2015, à Dinan. (B141A)
Quand il revient en Bretagne, Georges Kieffer a 25 ans et ne pèse que 39 kg. Laure le rejoint bientôt et l’épouse en 1948. Après une carrière à la BNP, à Dinan, Georges continue à faire vivre la mémoire de la guerre et de la Déportation dès que possible, se rendant une dizaine de fois au lycée de La Fontaine-des-Eaux, puis recevant des élèves chez lui à l’occasion avec l’appui de son ami professeur, Gilles Bourrien. « Il faut que la jeunesse sache ce qu’il s’est passé », insistait-il, un œil inquiet sur le retour du nationalisme.

Commandeur de la Légion d’honneur, médaille grand or de l’UNC et médaillé de la Ville de Dinan, Georges Kieffer va retrouver son épouse, Laure, décédée en 2018 à l’âge de 103 ans. Dimanche, à l’heure où nous écrivions ces lignes, la date de ses obsèques n’était pas encore fixée.

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Hommage à Litman Nadler, martyr de la Résistance, à Launaguet

Hommage à Litman Nadler, martyr de la Résistance, à Launaguet

2021 marquera un jour important dans la mémoire d’un résistant longtemps oublié. 76 ans après, les efforts conjugués de sa fille Monique Clastres, de l’amicale des Fusillés de Souge, du Souvenir Français de Toulouse avec l’appui de la 30eme section AFFAA, des Archives départementales, et de l’universitaire historien Fabrice Auger, ont permis de faire connaître l’un des résistants de Toulouse :…

 

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Seine-Maritime. Yvonne, a sauvé 11 alliés en 1940 : à 101 ans, l’héroïne se souvient

Seine-Maritime. Yvonne, a sauvé 11 alliés en 1940 : à 101 ans, l’héroïne se souvient

Yvonne Verzy a sauvé des alliés en 1940. Elle aura bientôt 101 ans. Les élus du Mesnil-Esnard (Seine-Maritime), lui ont remis la médaille de la Ville le 20 février 2021.

Par Rédaction Normandie Publié le 2 Mar 21 à 7:17
Le 9 mars 2021, Yvonne Verzy fêtera ses 101 ans. Elle se souvient de sa jeunesse pendant la guerre et des onze soldats alliés qu’elle a aidés à s’évader en 1940. Une nouvelle médaille, celle de la Ville du Mesnil-Esnard (Seine-Maritime) lui a été remise par le maire Jean-Marc Vennin le 20 février. Une distinction supplémentaire pour cette héroïne centenaire.

La lecture de polar, son passe-temps préféré
Tranquillement, près de la cheminée qui crépite, Yvonne Verzy née Pantel lit un polar, son passe-temps préféré. Elle vous reçoit avec patience et surtout avec des capacités physiques surprenantes alors qu’elle va fêter ses 101 ans le 9 mars prochain et ce, « malgré la crise sanitaire. Mais, je ne sors pas trop alors, je n’ai pas été touchée par la Covid-19 et je ne suis pas encore vaccinée ». Samedi 20 février, le maire du Mesnil-Esnard Jean-Marc Vennin lui a ainsi remis la médaille de la ville. Mais, pas uniquement pour son âge canonique.

Née en Tunisie d’une mère au foyer et d’un père commissaire de Police, Yvonne est arrivée à Rouen à l’âge de 17 ans. En 1940, encore mineure, alors en vacances, elle se souvient du retour précipité des vacances « à cause de la déclaration de la guerre ». Les Allemands arrivent très vite ainsi que des prisonniers engrillagés à l’Hippodrome des Bruyères, notamment des survivants écossais et australiens des batailles de la Somme et de Norvège, acculés à Saint-Valéry-en-Caux.

Des lettres dans les pots de confiture
« Avec une amie Christiane, on s’est dit qu’il fallait agir. On était jeune ! Cela a commencé par le passage, par-dessus les grillages, de nourriture. Pour entrer en contact, on a fabriqué des pots de confiture avec un double-fond pour mettre des lettres », se souvient la centenaire.

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Message pour la journée nationale du souvenir des victimes et des Héros de la déportation – Dimanche 25 avril 2021

Message pour la journée nationale du souvenir des victimes et des Héros de la déportation – Dimanche 25 avril 2021

76 ans après le retour des derniers déportés libérés, le souvenir de la déportation demeure dans notre mémoire collective et ne doit pas s’effacer.
Ce que furent les camps d’extermination et de concentration nazis et l’horreur vécue par les millions d’êtres d’êtres humains qui en furent victimes, n’est pas une simple page documentaire de l’histoire du XXe siècle.
L’humanité y a été atteint dans ce qu’elle a de plus sacré.
Des êtres humains étaient catégorisés en surhommes et sous-hommes, leurs vies jugées « dignes ou indignes d’êtres vécues » sur décision d’un État qui avait érigé en programme politique sa
sa conception raciste et eugéniste du monde et l’a portée à son paroxysme dans l’univers concentrationnaire.
Des hommes, des femmes et des enfants ont été envoyés dans des centres d’extermination ou dans des camps de mort lente, par un système qui niait leur appartenance à l’espèce humaine et s’employait à leur faire perdre conscience de leur propre humanité.
Pourtant, dans les pires circonstances, beaucoup ont su résister à la terreur et à la déshumanisation par la force de l’esprit et la solidarité.
Leur engagement et leur combat sont un exemple à suivre.
Il nous faut aujourd’hui encore résister à de nouvelles formes de fanatisme et de barbarie qui entendent promouvoir une vision raciste de l’humanité et détruire la liberté et la démocratie par la terreur.
De nouvelles menaces nous rappellent la communauté de destin qui unit l’humanité au-delà des différences culturelles, ethniques
ou religieuses et des antagonismes idéologiques, politiques ou économiques.
Face à ces périls, l’espoir réside dans l’engagement de tous et en particulier des jeunes générations, à l’exemple des déportés, au service de la liberté et vers des formes nouvelles de résistance et de solidarité.
À tous les déportés, victimes des génocides ou de la répression, nous rendons aujourd’hui un hommage solennel, et nous saluons
respectueusement leur mémoire.
Ce message a été rédigé conjointement par/
– La Fédération Nationale des Déportés, Internés, Résistants et Patriotes (FNDIRP),
– La Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) et les Associations de mémoire des camps nazis,
– L’Union Nationale des Associations de Déportés Internés de la Résistance et Familles (UNADIF-FNDIR)
Des nouvelles de la JNR 2021

Des nouvelles de la JNR 2021

Bonjour,
la situation se décante, la JNR 2021 se met sur rail :
L’édition 2021 de la Journée nationale de la Résistance à Paris va se dérouler dans le 13e.
L’occasion d’évoquer un passer si riche du combat de femmes et d’hommes souvent restés anonymes, de lieux trop souvent méconnus. d’événements majeurs de l’histoire de notre pays s’y étant déroulés.
Les établissements scolaires, les organisations syndicales des entreprises du 13e vont être mis à contribution.
Mais là où chacune et chacun habite, il y a des traces de mémoire à raviver, peut-être dans des boites ou tiroirs des archives à rendre publiques.
Le Comité Parisien de la Libération cordonne l’activité d’une centaine d’association culturelle mémorielles sociales qui portent cette mémoire. outre cette adresse facebook (direct ou en mp) , voici principalement où le joindre pour information ou échange : 1943cpl@gmail.com.
Bientôt plus de détails sur les initiatives en construction.
Les femmes dans l’Histoire : l’égalité mémorielle, un combat d’actualité

Les femmes dans l’Histoire : l’égalité mémorielle, un combat d’actualité

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, France 24 se penche sur leur place dans l’Histoire. Leur rôle, notamment au cours de la Seconde Guerre mondiale, est encore trop peu mis en lumière par rapport à celui des hommes, même si les hommages qui leur sont rendus sont de plus en plus nombreux depuis quelques années.

C’est une tombe comme il en existe des centaines dans les cimetières français. Gris, recouverts, de mousse, presque à l’abandon. Les noms sont quasiment illisibles. Sur une plaque qui s’est décrochée de la croix qui la surplombe, on peut encore lire « Marcelle Henry Morte pour la France 1895-1945″. Un destin presque anonyme au détour d’une allée pour un grand nom de l’Histoire de France. Marcelle Henry est l’une des six femmes.

Fonctionnaire au ministère du Travail, elle prend position contre la collaboration dès l’armistice et entre rapidement dans la Résistance. Elle héberge des évadés, distribue des tracts et œuvre pour les services secrets des Forces françaises combattantes. Le 4 juillet 1944, elle est arrêtée par la Gestapo. Déportée à Ravensbrück le 15 août 1944 par le dernier convoi de résistants, elle est ensuite transférée dans un kommando de Buchenwald. Libérée le 9 avril 1945, rapatriée à Paris, elle meurt des suites des privations et des mauvais traitements, peu après son retour, le 24 avril. Trois jours plus tard, le général de Gaulle la nomme Compagnon de la Libération.

« Quand vous pénétrez dans le cimetière de Bagneux, il y a à l’entrée, un panneau historique avec tous les grands noms qui y sont inhumés. Marcelle Henry n’y est pas. C’est quand même incroyable », regrette Serge Barcellini, le président du Souvenir français. « La tombe est en plus dans un état déplorable. Nous avons donc décidé de la rénover ».

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Calais : l’ancien Résistant Guy Wahé nous a quittés

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Résistant dans son tout jeune âge, président du Souvenir Français durant plus de vingt ans, hôtelier et commerçant à Calais, Guy Wahé s’est éteint vendredi dernier à l’âge de 93 ans. La cérémonie des obsèques aura lieu cet après-midi à l’église Saint-Pierre.
Par Nord Littoral | Publié le 09/03/2021

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