Catégorie : Actualité de la Résistance

Une journée consacrée à la Résistance a réuni 150 collégiens de Brest et Guilers

Une journée consacrée à la Résistance a réuni 150 collégiens de Brest et Guilers

Un Forum des résistances a réuni 150 collégiens de 3e le mardi 18 mars 2025 sur le campus brestois de l’ENSTA. L’événement était organisé par des enseignants des collèges Croas-ar-Pennoc, de Guilers, L’Harteloire et Joséphine-Baker de Brest (Finistère) dans le cadre de leur programme d’histoire et d’enseignement moral et civique. L’objectif était de rappeler l’importance de la transmission des valeurs de la République et de l’engagement dans la défense des Droits de l’Homme et de la liberté.

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Les bals clandestins 1939-1945 s’exposent au musée de la Résistance à Limoges

Les bals clandestins 1939-1945 s’exposent au musée de la Résistance à Limoges

Le musée de la Résistance de Limoges présente jusqu’au 19 mai l’exposition « Vous n’irez plus danser ! Les bals clandestins 1939-1945 ».
Par Jean-Christophe Bourdin

À partir de mai 1940 et jusqu’en avril 1945, les bals sous toutes leurs formes sont interdits sur le territoire français.
La danse, loisir majeur de la jeunesse française de l’entre-deux-guerres, connaît un coup d’arrêt. Empêché, réprimé et sanctionné par le régime de Vichy, car défiant la morale et les bonnes mœurs, le bal devient clandestin.
Quelles musiques sont jouées ?
Comment l’interdit est-il transgressé ? Quelles musiques sont jouées ? Quelles cultures du corps sont révélées ? Mais surtout, quelles valeurs et quels liens sociaux rendent irrésistibles l’envie de danser ?

Fruit d’un travail inédit et collectif mené par le centre d’histoire sociale des mondes contemporains (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), le musée de la Résistance de Limoges et le musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère, cette exposition, présentée pour la première fois à Limoges, nous plonge dans l’atmosphère des bals clandestins et leur histoire.

Une invitation à entrer dans la danse !

Horaires : lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 9 heures à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 heures ; fermé le mardi ; samedi et dimanche de 13 heures à 17 heures.

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« Le désir de nouveautés » et « Le Conseil national de la Résistance. Un programme fondateur »

« Le désir de nouveautés » et « Le Conseil national de la Résistance. Un programme fondateur »

Cette semaine, plongées aux origines du consumérisme et dans les coulisses du CNR, le Conseil national de la Résistance.
Depuis quand désirons-nous un produit parce qu’il est « nouveau » ? C’est la question que pose la philosophe Jeanne Guien, qui s’est plongée dans l’histoire du commerce et de la publicité.

« Le désir de nouveautés » de Jeanne Guien (éditions de La Découverte)
Tout commence selon elle au 17e siècle, avec la colonisation et l’importation de produits que l’on qualifie alors d’étranges ou d’exotiques, qui se renouvellent au fil des découvertes et qui imposent des modes qu’il faut suivre pour se démarquer de ceux qui n’en ont pas les moyens. Il faut consommer pour se distinguer.

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« L’Esthétique de la résistance » reprend vie sur la scène de l’Odéon-Théâtre de l’Europe

« L’Esthétique de la résistance » reprend vie sur la scène de l’Odéon-Théâtre de l’Europe

Par ces temps mauvais, il faut courir au Théâtre de l’Odéon, à Paris, où se joue un spectacle hors norme, dans tous les sens du terme. Souffle de la pensée, puissance théâtrale et politique : L’Esthétique de la résistance, mis en scène par Sylvain Creuzevault, a été salué comme tel par une salle galvanisée, lors de la première parisienne, samedi 1er mars.
Adapter au théâtre l’énorme fresque de Peter Weiss (pas loin de 900 pages) était une gageure, que Creuzevault a relevée grâce à un autre défi : travailler avec de jeunes acteurs encore en formation, ceux du Groupe 47 de l’école du Théâtre national de Strasbourg (TNS), mettant ainsi en abyme le parcours initiatique proposé par le livre de Weiss.

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Une cinquantaine de personnes devant la gare de Romans pour la réouverture du musée de la Résistance

Une cinquantaine de personnes devant la gare de Romans pour la réouverture du musée de la Résistance

Comme tous les 10 mars, des enfants de résistants déportés se sont rassemblés ce lundi soir devant la gare de Romans pour commémorer l’un des 1ers actes de résistance en France, contre le STO. Ils en ont profité pour rappeler que le musée de la Résistance et de la déportation était toujours fermé.

« C’est un outil de la mémoire. Ce sont des gens qui se sont battus, engagés pour notre liberté et en connaissant tous les risques« . Françoise Devignes, fille de résistant et coprésidente du comité de défense du musée, est venue comme chaque année commémorer l’acte des résistants le 10 mars 1943 devant la gare de Romans. Ils étaient une cinquantaine malgré la pluie. L’occasion de rappeler que le musée de la résistance est fermé depuis le covid, ça fait plus de 3 ans. Un musée qui contient des trésors de mémoire explique cette femme de 87 ans : « il y a des textes, objets, archives, il y a par exemple un vrai pigeon voyageur qui a transporté des messages de Romans jusqu’à LondresNous ne savons toujours pas pourquoi Madame le maire ferme ce musée.

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