Le dernier combat de Madeleine Riffaud





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Gabrielle « Coco » Chanel, dont le passé collaborationniste est connu, pourrait également avoir été membre de la Résistance française pendant l’Occupation, selon des documents révélés en septembre à Londres. Mais selon un historien qui a analysé ces nouvelles preuves, l’icône française de la mode pourrait avoir cherché à redorer son blason après la guerre.
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Agent secret du régime nazi, Coco Chanel a-t-elle aussi eu un passé de résistante ? Des documents inédits révélés au grand public à la mi-septembre, lors de l’inauguration d’une exposition londonienne retraçant la vie et l’héritage de la couturière française, suggèrent que « Coco » a pu jouer un rôle dans la Résistance pendant une partie de l’Occupation.

En 1940, Lyon est déclarée « ville ouverte », ce qui évite des combats et des destructions au cœur même de la ville, et n’est que brièvement occupée par les Allemands. Très vite, Lyon se distingue à l’échelle du territoire national, car c’est une grande ville, située en zone libre près de la ligne de démarcation. Beaucoup de réfugiés, Juifs ou non, y passent ou s’y arrêtent. Lyon devient rapidement un foyer de résistance, qui prend de l’importance entre 1940 et 1943. Les trois principaux mouvements de résistance de la zone libre sont représentés à Lyon. Combat et Franc-Tireur sont créés à Lyon en 1940, Libération ou Libération-Sud, bien que fondé à Clermont-Ferrand, est également très actif à Lyon.

Entrée libre et gratuite, aux horaires d’ouverture habituels de la Mairie.
La Mairie du 10e est accessible aux personnes à mobilité réduite par l’entrée située au 1, rue Hittorf.

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