« Survivre et Témoigner »



Le 28/05/2025
Bibliothèque Georges Brassens | Paris
Gratuit
En présence de Rupert Swyer, traducteur anglais des Mémoires de Daniel Cordier.
Publié en 2009 chez Gallimard, Alias Caracalla, récit autobiographique, raconte un moment clé de la vie du résistant français Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin de juillet 1942 jusqu’à l’arrestation de ce dernier le 21 juin 1943. L’édition anglaise de cette œuvre majeure, publiée par Swan Isle Press (Chicago) en août 2024, sera présentée par son traducteur, Rupert Swyer. Chacun/chacune sera ensuite invité(e) à partager le livre de son choix, dédié, pour cette édition spéciale, à un récit ancré dans l’histoire de la Résistance française.
Public : jeunes et adultes.

16/04/2025 – numéro 188
Le musée de la Libération de Paris rend hommage à Daniel Cordier, personnalité inclassable aux multiples facettes, au travers d’une remarquable exposition où se dessine l’histoire, mais également une certaine idée du regard. Passionnant !
De lui, l’Histoire se souvient qu’il fut le secrétaire de Jean Moulin, figure emblématique de la Résistance française. Mais ce rôle, si essentiel soit-il, ne saurait contenir l’ampleur de sa trajectoire hors-norme, tant Daniel Cordier (1920 –2020), né Daniel Bouyjou, incarne une pluralité rare. Homme de métamorphoses, il changea souvent de nom et de voie, passant du résistant clandestin au galeriste parisien, de l’espion engagé au collectionneur d’art réputé. Surtout, il fut un être de fidélités : à ses choix, à ses morts, à l’art comme à la liberté.


L association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation a un attachement tout particulier avec Fernand Léger.
En effet notre logo est un de ses dessins. A l origine en noir et blanc, nous y avons ajouté de la couleur.
C est pourquoi nous vous proposons de découvrir cet artiste précurseur à travers l exposition qui lui est dédié au musée du Luxembourg.
https://museeduluxembourg.fr/…/actu…/tous-leger-au-musee
Vous pourrez retrouver l histoire de notre Logo dans notre bulletin MÉMOIRE ET VIGILANCE numéro 107.


90 kilomètres de randonnée entre le Mont Mouchet et Anterrieux (Cantal), sur les traces de la Résistance. Un sentier sera inauguré dans quelques jours, avec des panneaux d’explication tout le long du parcours, pour rendre hommage au Maquis du Mont Mouchet qui résista contre l’occupation allemande.
Le devoir de mémoire peut s’accomplir en marchant. Un sentier de randonnée sera bientôt inauguré, entre le Mont Mouchet et Anterrieux, dans le Cantal.**
Car il y eut des maquisards dans le Cantal, même si cette histoire-là est moins connue que celle du Vercors. Des résistants ont affronté l’armée allemande en juin 1944 sur le Mont Mouchet, dans le massif de la Margeride. La communauté de communes de Saint-Flour a décidé d’honorer ces résistants en transmettant cette mémoire, avec un sentier de randonnée. Le sentier des maquisards propose tout au long du parcours des panneaux d’explications, avec des dates, des témoignages et des précisions historiques.


La vie quotidienne sous l’Occupation, en partenariat avec le musée de l’Ordre de la Libération.
Le musée s’est associé au dernier ouvrage de l’historienne Dominique Veillon qui vient de paraître aux éditions Eyrolles. Dans ce livre richement illustré et pour lequel les collections du musée ont été largement sollicitées, l’auteure s’appuie sur une sélection de 50 objets emblématiques qui nous replongent dans le quotidien des Français de 1940 à 1945.
Elle nous livre une synthèse complète et riche, à la fois accessible à tous et érudite, et dont on ne peut que souhaiter qu’elle trouve le plus largement possible son public.
Préfacé par Vladimir Trouplin, directeur-conservateur du musée, ce livre a notamment sollicité les collections de musée pour apporter une lecture essentielle et mieux comprendre cette période marquante de notre histoire.