Mois : mars 2019

Conférence | « Joseph Epstein, figure méconnue d’un chef de la Résistance »

Conférence | « Joseph Epstein, figure méconnue d’un chef de la Résistance »

Le 11 avril marque les 75 ans de l’exécution de Joseph Epstein au Mont-Valérien. Afin de rendre hommage au parcours de cet homme « bon pour la légende », le mémorial du Mont-Valérien organise une rencontre à l’Agora. Conférence à deux voix, menée par Pascal Convert et Georges Duffau-Epstein, celle-ci permettra de lever le voile sur une figure méconnue d’un chef de la Résistance.

Né en Pologne en 1911, Juif, issu d’une famille cultivée, exilé en France en 1932, communiste, combattant des Brigades internationales, Joseph Epstein est le chef de l’ensemble des FTP – Francs-tireurs partisans – de la région parisienne. Figure trop peu connue, son rôle fut pourtant central dans la réalisation des actions contre l’occupant perpétrées par les FTP, dans la région parisienne. Clandestin, connu sous le nom de « Colonel Gilles », son engagement, son parcours, font de lui une figure majeure de la Résistance, une trajectoire hors-du-commun qui doit être transmise.

« Joseph Epstein, bon pour la légende »

C’est le souhait porté par les deux intervenants. Georges Duffau-Epstein, fils de Joseph Epstein, président de l’association pour le souvenir des fusillés du Mont-Valérien et d’Île-de-France, et Pascal Convert, artiste-plasticien, « sculpteur de mémoire » ont entrepris depuis une dizaine d’année un travail de mémoire et de transmission conséquent. Leurs réalisations ouvrage, sculptures, sérigraphies et documentaire pour revenir sur les traces du résistant, seront mises en valeur lors de cette soirée. Pour illustrer leurs propos, des extraits du documentaire « Joseph Epstein, bon pour la légende » seront diffusés, des œuvres réalisées par Pascal Convert sur l’amour paternel que portait Joseph Epstein à son fils seront affichées.

Rendez-vous le mercredi 10 avril à 20h | Agora, maison des initiatives citoyennes de Nanterre
Entrée gratuite | Inscription nécessaire par e-mail : reservation@mont-valerien.fr

Conférence | « Combattants coloniaux pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) » par Julie Le Gac

Conférence | « Combattants coloniaux pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) » par Julie Le Gac

Le mercredi 17 avril se tiendra le prochain « Rendez-vous du Mont-Valérien ». Pour cette deuxième rencontre, l’historienne et maîtresse de conférence au sein du département histoire de l’Université Paris-Nanterre, Julie Le Gac, interviendra sur le sujet « Combattants coloniaux pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) ». 

« Sans l’Empire, la France ne serait qu’un pays libéré ; grâce à son empire, la France est un pays vainqueur »
Gaston Monnerville, président de la commission de la France d’outre-mer, 25 mai 1945

L’historienne et auteure de l’ouvrage pionnier sur le sujet « Vaincre sans gloire, le corps expéditionnaire français en Italie (novembre 1942-1944) » abordera à la fois la mobilisation des populations issues de l’empire colonial français dès 1939, le massacre des soldats noirs par les troupes allemandes en 1940, le cas des prisonniers de guerre. Son intervention sera complétée par l’explication des représentations existantes autour de la contribution des soldats coloniaux pour la libération de l’Europe.
Pan de notre histoire méconnu et pourtant essentiel, la mobilisation des troupes coloniales est un thème qui doit être abordé avec finesse et honnêteté. En cela, Julie Le Gac, questionnera ce sujet majeur, en s’appuyant sur un travail d’archives poussé, afin de mettre en lumière les parcours des combattants coloniaux mobilisés pendant la Seconde Guerre mondiale, dont il est, encore aujourd’hui, nécessaire de comprendre la complexité et l’importance.

Rendez-vous le mercredi 17 avril à 18h30 | Préfecture des Hauts-de-Seine
Entrée gratuite | Inscription obligatoire : bit.ly/Conf1704
Informations | communication@mont-valerien.fr

Programme pédagogique 2018-2019 des Hauts lieux de la mémoire nationale d’Île-de-France

Programme pédagogique 2018-2019 des Hauts lieux de la mémoire nationale d’Île-de-France

L’offre pédagogique du Mémorial du Mont-Valérien et du Mémorial des martyrs de la Déportation s’enrichit pour cette année scolaire 2018-2019, avec la mise en place de nouveaux parcours thématiques avec des institutions partenaires, ainsi que la création d’ateliers novateurs, toujours dans le souhait de répondre aux attentes des programmes scolaires du primaire et du secondaire.
Dans cet article, vous retrouverez toutes les nouveautés :

Au Mémorial du Mont-Valérien

Visiter plusieurs institutions :
Des parcours thématiques ont été développés avec des structures partenaires, permettant d’approfondir un sujet particulier. Les parcours ont été conçus pour souligner la complémentarité, et les liens entre les différents lieux proposés.
Cette année, le Mont-Valérien s’enrichit de deux nouveaux parcours, complétant ainsi son offre.
Les nouveaux parcours thématiques :

    • Ces fusillés venus d’ailleurs, en partenariat avec le Musée national de l’histoire de l’immigration – Nouveauté
    • Honorer l’engagement : du Mont-Valérien au Panthéon, en partenariat avec le Panthéon – Nouveauté

Les ateliers pédagogiques du Mont-Valérien :
Dans la continuité de notre programmation pédagogique et dans l’attente de l’aménagement du site, des ateliers spécifiques peuvent être mis en place sur demande et en itinérance dans les classes. Plusieurs thématiques sont proposées, pouvant être travaillées de manière transdisciplinaire.
Les nouveaux ateliers pédagogiques :

    • Le chemin vers la victoire | Niveau CM2 – Nouveauté
    • Les épreuves du Mont-Valérien | Niveau CM2 – Nouveauté
    • Parcours – Suresnes pendant la guerre : urbanisme et Résistance | En partenariat avec le MUS – Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes | Niveau CM2 – Nouveauté
    • Projet mémoire « Construis ton mémorial » | En partenariat avec le Mémorial des martyrs de la Déportation | Niveau CM2 – Nouveauté

Et toujours …
Les visites thématiques
L’équipe pédagogique du Mont-Valérien propose des visites thématiques adaptées aux programmes scolaires :

    • Les fusillés étrangers et extra métropolitains (Collège / Lycée)
    • La construction des mémoires (Lycée)

De plus, à la demande des enseignants, les visites peuvent être orientées vers des parcours spécifiques liés à une région, une thématique ou à un événement particulier.

Le concours de dessin (CM2 des Hauts-de-Seine)
Proposé pour la troisième année consécutive, le concours « Visiter et dessiner le Mont-Valérien » a pour objectif d’initier les élèves à la mémoire de la Résistance et de ses combattants et de participer à la construction des connaissances historiques et des valeurs de la République.

Suivez-ce lien pour en savoir plus sur les actions pédagogiques mises en place par le Mémorial du Mont-Valérien !

Projection : « Le Jour et l’heure » de René Clément

Projection : « Le Jour et l’heure » de René Clément

Le Jour et l’heure de René Clément – 1963 – 1h49 – V.F.

Synopsis: Pendant la Seconde Guerre mondiale, un pilote américain, dont l’appareil est abattu au-dessus du sol français, est recueilli par une femme dont le mari est prisonnier de guerre en Allemagne. Elle l’aide à traverser la France pour rejoindre l’Angleterre sans se faire repérer par les autorités allemandes et françaises.

Séance suivie d’un échange avec Fabrice GRENARD, directeur historique de la Fondation de la Résistance et Marie-France MONTEL, chargée des actions culturelles à l’ECPAD (Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense).

EN SAVOIR PLUS

SÉANCE EXCEPTIONNELLE « DAVID ROUSSET »

SÉANCE EXCEPTIONNELLE « DAVID ROUSSET »

À l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris,
sous l’égide de la Maire de Paris,
le 9 avril 2019 à 14h

Pour l’anniversaire de la Libération de Buchenwald, en partenariat avec l’association l’association CINE HISTOIRE, l’Association Buchenwald, Dora et Kommandos organise une séance dédiée à David Rousset et à ses travaux pour révéler les systèmes concentrationnaires dans le monde.

David Rousset, journaliste, écrivain, dirigeant du mouvement trotskiste avant-guerre, est l’auteur d’une des premières descriptions de la société concentrationnaire parue en 1946 sous le titre L’univers concentrationnaire, Prix Renaudot 1946. Puis, l’année suivante, il publie un roman de 800 pages : Les Jours de notre mort. Il n’aura de cesse par la suite, jusqu’à son décès en 1997, de dénoncer tous les systèmes concentrationnaires dans le monde, de l’URSS à la Chine, mais aussi, dès la fin des années 1940, de Grèce, d’Espagne et de Yougoslavie, sans oublier son voyage en Algérie avec Germaine Tillion dans le cadre de la Commission internationale contre le régime concentrationnaire (CICRC), qu’il avait créée avec l’appel aux déportés de 1949.
Ces rapprochements, dans le contexte de la guerre froide, lui valurent de nombreuses critiques de ses camarades déportés français et sont à l’origine d’un schisme dans le mouvement déporté.

Entrée libre, mais inscription obligatoire dans les limites des places disponibles : contact@buchenwald-dora.fr

ou par courrier à : Association Française Buchenwald, Dora et Kommandos, 3 rue de Vincennes 93100 Montreuil

 

Témoignages mis en ligne sur le site de MER

Témoignages mis en ligne sur le site de MER

L’Association des Amis de la Fondation de la Résistance propose un nouveau rendez-vous, celui de visionner et d’écouter depuis son site les voix de résistants et de déportés, aussi parfois celles de leurs familles ou de leurs camarades à partir d’un simple « clic » :

Dans un premier temps l’association des Amis de la Fondation de la Résistance avait recueilli ces nombreux témoignages et les avait enregistrés sur des DVD qu’elle mettait gracieusement à la disposition des enseignants, des organismes socioculturels et de tous les passionnés par « ces années-là ».
Aujourd’hui tous ces témoignages, qui représentent près de 16 heures d’écoute, peuvent être visionnés à partir du site de l’association. Tous ces témoignages sont transcrits et en plus la biographie de chaque témoin est accessible avec le clic Voir sa biographie.
Toutes ces femmes et ces hommes, exemples de courage, venus de toutes les régions de France, évoquent leur engagement, leur combat dans la Résistance, leur arrestation et pour certains le calvaire des camps de concentration. Toutes et tous évoquent la joie de la libération et la reconstruction de la France avec pour cadre les valeurs de la Résistance. Toutes et tous en conclusion de leur témoignage à l’adresse de la jeunesse font leurs ces mots de Charles de Gaulle rapportés par Pierre Lefranc : «Quand vous avez deux chemins, choisissez celui qui monte le plus haut. »
Toutes ces vidéos et la rubrique « Ne les oublions pas », avec ses 1 300 parcours de résistants, représentent une source documentaire précieuse pour les enseignants et leurs élèves lors de la préparation du Concours national de la Résistance et de la Déportation. Ces témoignages sont aussi une belle façon pour tous ceux que la mémoire de la Résistance passionne de se souvenir de ces voix dont beaucoup aujourd’hui se sont tues.

 
Ces témoignages sont ceux de : Michèle Agniel, raconte le parcours de Georges Broussine du réseau d’évasion Bourgogne ● Raymond Aubrac, évoque le « couple unique » qu’il formait avec Lucie dans la Résistance lyonnaise au sein du mouvement Libération-sud ● Jean-Jacques Auduc, agent de la France libre ● Roger et Rolande Becker, agents du réseau de renseignement Alliance ● Claude Berthié, résistant au sein de l’Armée Secrète ● Théo Bohrmann, maquisard de 15 ans à Vabre (Tarn) ● Bernard-Henri Bonnafous, chef régional adjoint de l’Armée Secrète pour la région R3 (Languedoc-Roussillon) puis chef FFI de l’Aveyron ● Loïc Bouvard, maquisard à Saint Marcel (Morbihan) ● Guy Chevalier, maquisard en Bourgogne ● Marie-José Chombart de Lauwe, étudiante en médecine, résistante bretonne, déportée à Ravensbrück ● Victor Chaudron, agent de liaison dans les maquis de Côte d’Or ● Jean Chauvin, membre du mouvement Libération-Nord ● Jean-Louis Crémieux-Brilhac, évadé d’Allemagne par l’URSS, responsable de la propagande de la France libre à Londres ● Jean-Marie Delabre, lycéen parisien, résistant au sein des mouvements des Volontaires de la Liberté et de Défense de la France, déporté à Buchenwald et à Mauthausen ● Pierre Demalvilain, résistant breton, agent de liaison du réseau franco-polonais F2 ● Maurice Druon, Français libre auteur avec son oncle Joseph Kessel du Chant des Partisans ● Simone et Claude Ducreux, résistants de différents mouvements dont Libération-Nord ● Henri Écochard, membre des Forces Françaises Libres, soldat de la 1ère DFL ● André Fournier, résistant des mouvements Défense de la France et Vengeance, déporté à Dachau ● Angilbert de Franssu, jeune exploitant agricole, résistant de Picardie ● Brigitte Friang, résistante chargée des parachutages dans la région Ouest, déportée à Ravensbrück ● Bernard de Gaulle, petit-neveu du général Charles de Gaulle, maquisard évadé de France par l’Espagne ● Jean Gavard, lycéen bordelais, résistant du réseau de renseignement CND-Castille, déporté à Mauthausen ● Gisèle Guillemot, résistante, déportée à Ravensbrück ● Stéphane Hessel, normalien, membre du BCRA à Londres, arrêté lors d’une mission en France et déporté à Buchenwald ● Pierre Lefranc, arrêté lors de la manifestation du 11 novembre 1940 à l’Arc de Triomphe à Paris, membre du BCRA à Londres● Georges Loinger, prisonnier de guerre évadé d’Allemagne fin décembre 1940, résistant au sein de l’OSE il sauve des centaines d’enfants juifs ● Maurice Lombard, chef du maquis Laurent en Côte d’Or ● Christiane Mattéoli, résistante à Dijon ● Pierre Morel, résistant au sein de réseaux du SOE ● Charlotte Nadel, étudiante parisienne, membre du comité directeur de Défense de la France, responsable de l’impression du journal clandestin ● Jacqueline Pardon, étudiante parisienne, membre du comité directeur de Défense de la France témoigne de l’action de Jacques Lusseyran, étudiant parisien aveugle, animateur du mouvement les Volontaires de la Liberté ● Robert Pelletier, lycéen résistant au réseau de renseignement Alliance ● François Perrot, lycéen parisien, résistant membre du Front national des étudiants (FNE) déporté à Buchenwald ● Rosette Peschaud, Rochambelle dans la 2e DB ● René Rémond, antimunichois avant-guerre, membre du réseau Jade-Fitzroy ● Claire Richet, agent de liaison dans le réseau Alibi ● Noreen Riols, membre du quartier général du SOE à Londres ● Cécile Rol-Tanguy, résistante à Paris, épouse et secrétaire du colonel Rol-Tanguy dans la clandestinité jusqu’à la libération de Paris ● Pierre de Saint-Macary, résistant déporté à Mauthausen● Pierre Sudreau, chef du réseau Brutus pour la zone occupée, déporté à Buchenwald ● Andrée Thiersault et Marcel Derenne, membres du Bureau des Opérations Aériennes en Pays de Loire ● Raoul Tourette, résistant de l’Ain, déporté à Neuengamme ● Jean-Pierre Vernant, alias colonel Berthier, chef de l’armée Secrète du Sud-Ouest ● Hélène Viannay, co-fondatrice de Défense de la France ● Jacques Vico, résistant normand au sein du mouvement OCM ● Maurice Voutey, résistant et déporté.
Les Amis de la Fondation de la Résistance
Place Marie-Madeleine Fourcade
16-18, place Dupleix
75015 Paris
Tel : 01-45-66-92-32

Mail : memoresist@m-e-r.org

Site : http://www.memoresist.org

75e anniversaire de l’exécution du Groupe Manouchian

75e anniversaire de l’exécution du Groupe Manouchian

Après la cérémonie du 75e anniversaire de l’exécution du Groupe Manouchian, Jean Forestier initiateur des semaines de l’Affiche rouge a reçu la Médaille d’honneur de la Ville d’Echirolles

A l’issue de la commémoration du 75e anniversaire de l’exécution de Missak Manouchian et du groupe de l’Affiche rouge, sur proposition de Daniel Marandjian président de l’Association des Anciens Combattants et Résistants Arméniens de l’Armée Française (AACRAAF) et de Jacqueline Madrennes adjointe à l’éducation, à la culture et au travail de mémoire, Jean Forestier vice-président a reçu la médaille de la ville d’Echirolles des mains du maire Renzo Sulli.

Ce dernier s’adressait à lui en ces termes :
« Jean, je tenais à te remercier pour l’ensemble de ton action et en particulier pour ton engagement dans le travail de mémoire. Tu es – faut-il le rappeler – à l’initiative de la semaine de l’Affiche Rouge, qui vise à transmettre la mémoire des étrangers dans la Résistance et de sa figure emblématique Missak Manouchian. Son humanité, sa détermination, sa force tout comme celles de ces jeunes résistants étrangers fusillés au Mont Valérien nous sont rappelées, expliquées chaque année au fil des actions inscrites dans cette semaine toujours d’une grande richesse et d’une grande qualité.

Et cette initiative échirolloise – avec d’autres – contribuent à asseoir et à consolider notre grande histoire commune plus forte que le fascisme, le nazisme, le racisme. En effet dans les années qui ont suivi la Libération, l’Affiche Rouge sera passée sous silence, car la volonté est de mettre l’accent sur l’identité française dans la Résistance plutôt que sur celui l’apport des étrangers. L’irruption de la Guerre Froide va aussi contribuer à marginaliser le rôle des communistes dans la Résistance et de ses organisations.

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Photographie : Vous êtes Jean Moulin ?

Photographie : Vous êtes Jean Moulin ?

La requête peut paraître saugrenue mais elle est pourtant bien réelle. Une artiste et photographe anglaise, Chloe Dewe Mathews, réalise un projet autour de la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle tente de localiser et de contacter « autant d’hommes que possible qui sont des homonymes   » de Jean Moulin, considéré comme l’un des héros de la Résistance et mort en 1943 après avoir été torturé par la Gestapo. Chloe Dewe Mathews, dont le travail a notamment été exposé à l’Hôtel de Ville de Paris, voudrait en rencontrer un maximum et réaliser un « portrait photographique de chacun d’entre eux ».

Alors si vous vous appelez Jean Moulin et que le projet vous séduit, vous pouvez écrire à chercher.jean.moulin@gmail.com.

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Hommage au groupe Manouchian

Hommage au groupe Manouchian

Le 21 février 1944, vingt-deux résistants du sont fusillés au Mont-Valérien, dans l’Ouest parisien. Parmi ces militants communistes d’origine étrangère, plusieurs Ivryens, comme Celestino Alfonso ou Robert Witchiz. Un hommage leur été rendu par la Ville le dimanche 24 février au cimetière Parisien.
Photos transmises par Dominique Moreau