Catégorie : Actualité de la Résistance

JNR 2024 – Mont-Valérien

JNR 2024 – Mont-Valérien

Le lundi 27 mai, de 19h30 à 21h au mémorial du Mont-Valérien, (re)découvrez le parcours de l’un des visages de la Seconde Guerre mondiale en France dans : « Jean Moulin, d’une vie au destin » , mise en scène par le Théâtre 14 !

🎭 « En 2023, dans le CDI du Lycée Jean Moulin, un groupe de lycéens prépare un exposé sur le héros de la résistance qui a donné son nom à leur établissement scolaire. Ils sont alors loin d’imaginer que la découverte de la liste des candidats du baccalauréat de 1917 où figure le nom de Jean Moulin va leur fait découvrir la réalité de l’homme qui a donné naissance au héros. »

— Informations pratiques : —

Lundi 27 mai 2024 | de 19h30 à 21h

Au mémorial du Mont-Valérien | 1, avenue du professeur Léon Bernard – 92150 Suresnes

Accès ligne L et U (Suresnes Mont-Valérien) et Tramway T2 (Suresnes-Longchamp)

L’entrée est gratuite, sur inscription. Pour réserver votre place, contactez louise.desaint@onacvg.fr, ou par téléphone au 01 47 28 46 35

 

JNR 2024 – Proposition horaire fleurissement de plaques 20e arrondissement

JNR 2024 – Proposition horaire fleurissement de plaques 20e arrondissement

Proposition horaire fleurissement de plaques 20e arrondissement
lundi 27 mai 2024
Départ mairie du 20e : 9h30
• 132, Bd Davout plaque en hommage à Raymond BOSSUS : 9h50
• 4, Place de la Porte de Bagnolet 5 plaques : Emile Vercruysse, Lucienne Palluy Bernard Vanier, Bernard Bertrand, Léopold Rabinovitch, 10h15
• 8, rue Stanislas Meunier plaque en hommage à Henri Krasucki : 10h40
• 163, Bd Mortier plaque de la prison des Tourelles : 11h10
Retour Mairie du 20e : 11h45
• 12h00/12h30 : fleurissement du Monument aux Morts à la Mairie du 20e
Cérémonies Officielles
15h00 : 48 rue du Four (voir invitation ci dessous)
17h00 : Rond point des Champs Elysées, stèles Jean Moulin
18h30 : Ravivage de la Flamme à l’Arc de Triomhe.
JNR 2024

JNR 2024

Le 27 mai 2014, lors de la première édition de la JNR les premières initiatives voyaient le jour, nous étions alors peu nombreux.

10 ans plus tard quel plaisir de voir ce foisonnement croissant, une démultiplication à travers tous le pays avec un nombre lui aussi gradissant d’initiatives associant les éléves des écoles des collèges et des lycées.

Au moment où la bête immonde trouve des relais juridiques l’autorisant à défiler au coeur de la capitale, cela au nom de la liberté !!, les conditions du barrage à la haine au racisme et à l’antisémitisme sont en train d’être réunies. Le 27 mai est moment de faire reculer la tentation fasciste.

Commémoration : un résistant de la Seconde Guerre mondiale reproduit la même photo 70 ans plus tard à Morand

Commémoration : un résistant de la Seconde Guerre mondiale reproduit la même photo 70 ans plus tard à Morand

Raymond Labbé, 99 ans, a pris la pose devant l’objectif de Gabin Bruneau pour reproduire un cliché, immortalisé en juillet 1944, à Morand (Indre-et-Loire). Une façon de rendre hommage au résistant, très ému par le projet.

Raymond Labbé a posé avec la même arme que sur la photo originale de juillet 1944. © Radio France – Juliette Gloria
La même ferme, la même voiture, la même arme, le même drapeau… mais Raymond Labbé a 70 ans de plus. Le temps d’un cliché, le presque centenaire troque sa canne contre un sten « C’est la même, avec 33 balles dans le chargeur en moins ! », plaisante t-il. Il avait 19 ans lorsqu’il avait posé pour cette photo, prise en juillet 1944, avec une dizaine de résistants, dont il est le seul survivant.

« Je vous remercie d’avoir fait tout ça »

Raymond fait rire la petite assemblée venue assister à la séance photo ce samedi, mais parvient difficilement à retenir ses larmes « Je ne pensais pas revenir un jour ici, c’est très bien d’avoir organisé ça, je vous remercie d’avoir fait tout ça », la voix tremblante.

C’est dans cette ferme que le groupe de résistants s’était retrouvé pour préparer l’occupation d’Amboise.© Radio France
Le photographe, Gabin Bruneau, est aussi ému : « Cela fait un an qu’on prépare ce projet, il a fallu contacter le collectionneur de voiture, d’arme, le propriétaire de la ferme, et puis convaincre M. Labbé bien sûr ! », même si le passionné d’Histoire confie que l’ancien combattant a tout de suite été emballé par l’idée.

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Héros de la Résistance française : Tout le village de Reyniès uni pour honorer la mémoire d’Albert de Seguin de Reyniès, assassiné par la Gestapo en 1944

Héros de la Résistance française : Tout le village de Reyniès uni pour honorer la mémoire d’Albert de Seguin de Reyniès, assassiné par la Gestapo en 1944

La mémoire du commandant Albert de Seguin de Reyniès, héros de la Résistance française, a été honorée, samedi 9 mai à Reyniès, en Tarn-et-Garonne. Trois de ses enfants âgés de plus de 90 ans ont assisté aux cérémonies qui ont réuni tout le village.

Traction avant floquée du « V » de la Victoire et du fameux « FFI » (Forces Françaises de l’Intérieur) de la Résistance, des véhicules militaires de la Seconde Guerre mondiale, des figurants vêtus en maquisards… Il y avait comme un parfum de la Libération ce samedi 11 mai 2024, à Reyniès.

C’est tout le village de cette petite commune de près de 900 habitants, située à 13 km au sud-ouest de Montauban, qui s’est mobilisé pour honorer, à l’occasion du 80e anniversaire de la commémoration du 8-Mai, un enfant du pays : le résistant Albert de Seguin de Reyniès.

Né en 1900 et marié en 1925 à Henriette de Parisot de Durand de la Boisse, avec laquelle il eut huit enfants, ce Cyrard prend le commandement du 6e bataillon de chasseurs alpins. En 1943, alors que son régiment est dissous, il rejoint l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA), puis l’Armée Secrète dans le secteur de Grenoble.

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Le groupe MANOUCHIAN s’expose sur les grilles du Belvédère du Parc du Haut Belleville (27 rue Piat)

Le groupe MANOUCHIAN s’expose sur les grilles du Belvédère du Parc du Haut Belleville (27 rue Piat)

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Le groupe MANOUCHIAN s’expose sur les grilles du Belvédère du Parc du Haut Belleville (27 rue Piat)

Cette exposition restera visible sur les grilles du Belvédère du parc du Haut Belleville jusqu’au 28 mai 2024.

L’inauguration par Eric PLIEZ Maire du 20e aura lieu
le mardi 14 mai à 18h20,
en présence des Amis du Musée de la Résistance Nationale et du Comité Parisien de la Libération

À l’occasion de l’entrée au Panthéon du résistant Missak Manouchian le 21 février 2024, le Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne (AAMRN) a conçu une exposition itinérante apportant un regard inédit sur l’histoire des Francs-tireurs et partisans de la Main-d’oeuvre immigrée (FTP-MOI) et sa transmission.

Plongez dans les très riches archives du musée pour découvrir comment la mémoire de Missak Manouchian s’est construite aux travers des arts. Depuis son exécution jusqu’à son entrée au Panthéon, la figure du Missak Manouchian comme résistant et poète a inspiré nombre d’artistes. Déjà pendant l’Occupation, le peintre résistant Enrico Pontremoli s’empare de la propagande officielle en détournant « l’Affiche rouge». Par la suite, c’est le poème d’Aragon, mis en musique à la fin des années 1950 par Léo Ferré, qui pérennise l’histoire des « 23 » condamnés de février 1944.

Dans la continuité des travaux engagés par le Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne depuis le début des années 2000 sur la mémoire de la Résistance en bande dessinée, des images issues de l’album Missak, Mélinée & le groupe Manouchian (Dupuis, 2024) illustrent cette exposition itinérante. Loin d’être anecdotiques, elles pallient le manque d’images concernant les actions clandestines. Elles illustrent aussi les biographies de Manouchian et de ses compagnons de vie et de combat.

Cette exposition rappelle également qu’au travers de Missak Manouchian sont honorés tous les étrangers qui ont participé à la Résistance intérieure et qui ont donné leur vie au nom des valeurs humaines universelles qui fondent notre démocratie : la Liberté, l’Égalité et la Fraternité. Au Panthéon, aux côtés, de Missak Manouchian et de son épouse, figure désormais une plaque rappelant les noms de leurs 22 camarades de résistance condamnés en février 1944 ainsi que celui de Joseph Epstein, le responsable de Manouchian fusillé en avril 1944.

Cette exposition est réalisée en 12 panneaux répartis tout au long des grilles du Belvédère (numérotés de 1 à 12)

les sept premiers panneaux au dessus des escaliers qui donnent accès au parc

Les trois suivants sur les grilles à l’entrée du Parc à proximité du 33 rue Piat

Les deux derniers de l’autre coté de l’entrée du Parc à proximité du 33 rue Piat