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Histoire. Toulouse : l’éphémère expérience de l’Ecole des officiers FFI

Histoire. Toulouse : l’éphémère expérience de l’Ecole des officiers FFI

En septembre 1944, le lieutenant-colonel Robert Darnault fonde une école de cadres au château de Lespinet-Ramel. L’expérience fut éphémère.

Encadré par le périphérique extérieur et l’avenue Édouard-Belin, en face de l’Isae-Supaero, l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace, le château de Lespinet-Ramel est dévolu depuis l’après-guerre au sport, à la jeunesse et à l’éducation populaire, et abrite, depuis 2011, le Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive (Creps) de Toulouse.

La bâtisse, petit joyau de style néogothique de la fin du XVIIe siècle, et son immense parc de plus de 20 hectares, demeure pendant longtemps un lieu de villégiature et de réception prisé par la bourgeoisie toulousaine. Mais la Seconde Guerre mondiale sonne le glas des années d’insouciance. Le domaine est réquisitionné par l’Etat pour devenir l’Ecole régionale des cadres des Chantiers de jeunesse, institution paramilitaire active entre 1940 et 1944 imprégnée des préceptes de la Révolution nationale du Régime de Vichy.

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Livre des 9000 Déportés de France passés par Mittelbau Dora

Livre des 9000 Déportés de France passés par Mittelbau Dora

Retour en images sur la conférence et la remise du Livre aux familles, évènement organisé par Les Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation du Finistère
Un grand merci Maryvonne Moal, présidente de la DT, ainsi qu’à ses membres; à M. Vermot, maire de Morlaix, à M. Ismael Dupont, son adjoint, et l’équipe du théâtre de Morlaix
Nos remerciements également aux élèves des collèges de Morlaix qui ont travaillé et lu les notices
Enfin un grand merci à Dominique Mathieu et Lionel Roux, auteurs de nombreuses notices, présents à nos côtés depuis de nombreuses années.
Dévoilement de plaques

Dévoilement de plaques

Lundi matin 20 juin 2022 dévoilement au 14, rue de Paradis à Paris 10e de deux plaques, l’une à la mémoire de Max Weinstein Résistant et communiste, L’autre en hommage à l’UJRE Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide
En présence des personnalités figurant sur les photos, en présence également du sénateur Rémi Féraud, ancien maire du 10e arrdt
INVITATION – RAPPEL

INVITATION – RAPPEL

Gilles Pierre Levy, Président de la Fondation de la Résistance, a le plaisir de vous convier à la présentation de l’exposition virtuelle
« Juifs, résistants, combattants »
du Musée de la Résistance en ligne 1940-1945
Jeudi 30 juin 2022 de 14h à 18h
à l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris
5, rue de Lobau (Paris 4e)1
Projection du documentaire d’Ariel Nathan, « Le maquis des Juifs »
(2015, 52 min, DeLaProd en partenariat avec Marianne)
Interventions de Fabrice Bourrée, Fabrice Grenard, Maurice Lugassy, Mathias Orjekh, Sylvie Orsoni, Constance Pâris de Bollardière et Guillaume Pollack.
Une exposition virtuelle réalisée avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et avec le concours de nombreux partenaires.
Pour des raisons de sécurité, les inscriptions sont obligatoires auprès du département AERI de la Fondation de la Résistance avant le 24 juin 2022 :
departement.aeri@fondationresistance.org
Journée de la Résistance à Amiens : pas de musée pour les fusillés de la Citadelle

Journée de la Résistance à Amiens : pas de musée pour les fusillés de la Citadelle

Alors que les élus de la Somme et d’Amiens célébraient la Journée nationale de la Résistance, ce 27 mai, le projet de création d’un centre de mémoire au « poteau des fusillés », pour lequel une association se bat depuis dix ans, reste dans l’impasse.

C’est une forme de résistance. Malgré les sollicitations et coups de pression par voie de presse d’une association au nom (Centre de mémoire et d’histoire de la Somme – Résistance et Déportation) aussi long que son combat (elle a été créée en 2012), les élus amiénois et samariens, dont certains célébraient ce vendredi 27 mai la Journée nationale de la Résistance, se refusent toujours à engager la construction d’un centre de mémoire au « poteau des fusillés ».

« On a des musées partout pour la première guerre mondiale, il faudrait quelque chose pour la seconde !« , martèle inlassablement Anatolie Mukamusoni, actuelle présidente de l’association qui porte ce projet depuis une décennie.

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