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Projection du documentaire « Camille Senon la dame du pays rouge »

Projection du documentaire « Camille Senon la dame du pays rouge »

projection du documentaire « Camille Senon la dame du pays rouge » le samedi 3 février 2018 !

Le Comité de Paris de l’Amicale Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt, le Syndicat CGT des Postaux de Paris, dont Camille Senon était adhérente, et la CGT Paris vous invitent à la projection du film documentaire sur Camille Senon, réalisé par François Perlier, le samedi 3 février 2018 à 14h30 dans la salle Eugène et Germaine Henaff de la Bourse du Travail de Paris, 29 boulevard du Temple, Paris 3e
« Camille Senon, rescapée du massacre d’Oradour sur Glane à vingt ans, est une militante syndicale, une porteuse de mémoire et une féministe intransigeante. Le réalisateur la suit pas à pas dans ces derniers combats, tout en retraçant son parcours et en s’interrogeant sur la notion d’engagement. »

13e édition du festival « La Résistance au cinéma »

13e édition du festival « La Résistance au cinéma »

13e édition du festival « La Résistance au cinéma » (du 6 février au 28 mars 2018 – Seine-Saint-Denis)

Organisé par l’association départementale des Amis du Musée de la Résistance nationale en Seine-Saint-Denis, le festival « La Résistance au cinéma » se tient du 6 février au 28 mars 2018 dans plusieurs salles de cinéma du département (Magic Cinéma à Bobigny, Louis Daquin au Blanc-Mesnil, L’Étoile à La Courneuve, Espace 1789 à Saint-Ouen, Le Trianon à Romainville-Noisy-le-Sec, Le Bijou à Noisy-le-Grand, Le Cin’Hoche à Bagnolet et Le Méliès à Montreuil).

S’adressant au public et plus particulièrement aux scolaires, le festival programme des films anciens ou récents, en lien avec la Résistance et la Déportation. Chacune des séances est suivie d’une rencontre-débat. Xavier Aumage et Manuel Mingot Nicaise, archivistes au Musée de la Résistance nationale ainsi qu’Éric Brossard, professeur relais, interviendront à cette occasion.

Le programme complet est à retrouver à l’adresse suivante : https://www.musee-resistance.com/rencontres/festival-2018-resistance-cinema-93/

Maison de l’UNESCO : « La mémoire et l’enseignement de l’Holocauste : notre responsabilité partagée »

Maison de l’UNESCO : « La mémoire et l’enseignement de l’Holocauste : notre responsabilité partagée »

À l’occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste

les 22 et 25 janvier 2018 à la Maison de l’Unesco

Projection | Table ronde | Inauguration d’expositions | Cérémonie

« La mémoire et l’enseignement de l’Holocauste : notre responsabilité partagée »

Lundi 22 janvier à 20h
PROJECTION (avant-première) | Les quatre soeurs (1ère partie : Le serment d’Hippocrate), réalisé par Claude Lanzmann. en présence du réalisateur.

Le Mémorial de la Shoah diffusera Les quatre sœurs en intégralité le 28 janvier à 14h, en présence de Claude Lanzmann.

Jeudi 25 janvier à 15h30
TABLE RONDE | « La mémoire et l’enseignement de l’Holocauste : notre responsabilité partagée ». Avec la participation de Serge Klarsfeld, Ambassadeur honoraire et Envoyé spécial de l’UNESCO pour l’enseignement de l’histoire de l’Holocauste et la prévention du génocide, Henri Rousso, historien, Directeur de recherche au CNRS, France, Floriane Hohenberg, historienne, Directrice du Service international de recherche (SIR), Allemagne.

Jeudi 25 janvier à 19h
CÉRÉMONIE | Cérémonie dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste. En présence d’Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO, et Éric de Rothschild, Président du Mémorial de la Shoah. Projection de la vidéo Between listening and telling, réalisée par Esther Shalev Gerz. Témoignage d’Yvette Levy. Concert du Ariela duo : Sigrid Hagn (piano) andJanina Ibel (violon).

A partir du lundi 22 janvier
EXPOSITIONS | La Nuit de Cristal (jusqu’au 3 février, siège de l’UNESCO) et La mémoire volée (jusqu’au 29 février, grilles de l’UNESCO).

S’INSCRIRE EN LIGNE

Evénements organisés avec le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec ARTE France etSynecdoche.

Avec le soutien de
• La Délégation permanente de la Principauté de Monaco auprès de l’UNESCO
• La Délégation permanente de l’Allemagne
• La Délégation permanente de l’Autriche auprès de l’UNESCO
• Le Forum culturel autrichien

Projection du film « Un français nommé Gabin »

Projection du film « Un français nommé Gabin »

 

Projection du film
« Un français nommé Gabin »
Jeudi 25 janvier à 14h30
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Au musée du général Leclerc et de la libération
de Paris – Musée Jean Moulin
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Projection en présence des auteurs Yves Jeuland et François Aymé.

En parcourant la carrière et la vie de l’acteur, nous traversons ainsi l’histoire du cinéma et de son pays : histoire politique, sociale et urbaine, mais également une histoire intime, hors du commun.

Jean Alexis Gabin Moncorgé avait deux rêves d’enfant : devenir fermier et conduire des locomotives. Mais Gabin sera acteur, et par la grâce du cinéma, ouvrier, routier, patron, flic et truand, président et déserteur, conducteur de locomotives. Et paysan. Du Front populaire aux Trente Glorieuses, il incarnera la France des villes et des champs de bataille, celle des fermes et des usines, celle des cafés et des épiceries, des ports et des faubourgs. Les Français se reconnaîtront en Gabin, l’acteur le plus emblématique de son siècle.
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Production : Kuiv, Michel Rotman et l’INA
France, 2017
Durée 105 minutes
Réservation indispensable au 01 40 64 39 44/52
ou par mail cecile.cousseau@paris.fr

Sauvegarde du Fort de Romainville

Sauvegarde du Fort de Romainville

Ce matin, 19 janvier 2018, s’est déroulé la commémoration en hommage au premier convoi de femmes parti de Romainville dans les camps nazi.

Le Fort de Romainville est le premier camp allemand ouvert en France. Dès son installation, l’armée allemande procède à une répression extrajudiciaire et à des détentions administratives par mesures de sûreté .A partir de janvier 1943, le camp devient un point de départ en déportation vers les camps de concentration nazis. Près de 4000 femmes ont été internées au camp de Romainville, qui fut ainsi le plus grand camp d’internement de femmes otages, résistantes, déportées en France. Le premier convoi est le convoi du 24 janvier 1943, dit des « 31000 », composé de 230 femmes, déportées à Auschwitz-Birkenau, via le camp de Compiègne, elles rejoignent le train des 1557 hommes qui partent, eux, pour le camp de concentration de Sachsenhausen. Ce convoi est celui de Marie-Claude Vaillant-Couturier, Danielle Casanova, Maï Politzer, Hélène Langevin et Charlotte Delbo…..Certaines femmes du convoi relevaient de la catégorie Nacht und Nebel (NN).

L’histoire des femmes résistantes et déportées reste largement à approfondir et à réévaluer, dans la diversité de leurs engagements, de leurs parcours dans les prisons et les camps d’internement ainsi que dans le complexe concentrationnaire, en lien avec l’histoire des mouvements de Résistance et de la Déportation dans sa cohérence et sa globalité.

Par sa problématique centrale relative aux parcours des femmes dans la Résistance et la Déportation, ce lieu Mémoriel serait un outil pédagogique. Il pourrait s’inscrire ainsi dans un parcours pédagogique d’Ile de France, avec les principaux lieux, musées et mémoriaux de la Résistance et de la Déportation.

 

Actualité de la Résistance : conférence de Francçoise Basch, avec l’ADVR

Actualité de la Résistance : conférence de Francçoise Basch, avec l’ADVR

L’ADVR vous invite à la conférence de Françoise Basch :

Françoise Basch petite-fille de Victor Basch, enfant cachée

Mardi 16 janvier 2018 à 18h

Basch-Francoise-Victor-Basch-Livre-903482947_LFrançoise BASCH a enseigné de nombreuses années à l’Université Paris 7 Denis Diderot dans le département de Civilisation anglo-américaine. Spécialiste de l’histoire des femmes, elle a publié plusieurs ouvrages sur des pionnières britanniques et américaines.C’est son expérience vécue pendant l’Occupation avant et après l’assassinat de ses grands-parents par la Milice et la Gestapo en janvier 1944, y compris sa condition d’enfant cachée quelques mois de 1944, qui l’incita, bien des années plus tard, à se lancer dans une biographie de son grand-père, Victor Basch. Ses engagements pour l’indépendance de l’Algérie, puis dans les luttes féministes s’inscrivent dans les traces des combats que Victor Basch (1863-1944) avait menés dans les rangs puis à la tête de la Ligue des Droits de l’Homme. Dreyfusard pendant l’Affaire, il milita ensuite de toutes ses forces contre le régime nazi, et pour l’accueil des réfugiés allemands, autrichiens, enfin des Républicains espagnols à la fin de la guerre d’Espagne.
A l’issue de sa conférence, Françoise Basch dédicacera son livre « Ilona, ma mère et moi , une famille juive à l’épreuve de l’Occupation. » Editions iXe.

Auditorium du Pavillon Carré de Baudoin, 121 rue de Ménilmontant
Métro Gambetta ou Jourdain, bus 96 ou 26

Réservation conseillée par tel, SMS ou mail : 06 50 42 86 05 blondeauyves2000@yahoo.fr