« Raconte-moi papy la résistance dans le Brivadois », une histoire de famille française

« Raconte-moi papy la résistance dans le Brivadois », une histoire de famille française

A l’occasion des commémorations du 80e anniversaire du débarquement, nous vous présentons « Raconte-moi papy, la résistance dans le Brivadois », une BD à ne pas manquer.

C’est une bande dessinée et un artiste que la rédaction a décidé de soutenir. Non seulement car en cette année de commémorations, elle trouve son sens, mais aussi parce qu’on aime et qu’on le soutient le travail de son auteur. Et plutôt que de long discours, nous avons décidé de lui donner la parole. Frédéric RAILLOT nous présente son très gros dernier projet : « Raconte-moi papy, la résistance dans le Brivadois »

Je me présente Frédéric RAILLOT, illustrateur-graphiste depuis plusieurs années. Mes influences commencent depuis ma plus tendre enfance. Mes premières fascinations dans le domaine de l’illustration et du graphisme viennent de la POP CULTURE.

Je vous invite à découvrir ma BD qui sort le 27 septembre « Raconte-moi papy, la résistance dans le Brivadois » qui a reçu le label des 80 ans de la libération par le Ministère des Armées.

Dans la BD, je vous invite à découvrir l’histoire d’Antoine jeune résistant lors de la Seconde Guerre mondiale. Après 1945 et son retour à une vie « normale », il a toujours été très discret sur les événements et sa vie pendant ces sombres années.

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Rencontre avec les auteurs des “Enfants de la Résistance”

Rencontre avec les auteurs des “Enfants de la Résistance”

Le tome 9 des Enfants de la Résistance vient de sortir en librairie. Benoît Ers et Vincent Dugomier évoquent les origines et la suite de la bande dessinée.

Vincent Dugomier (auteur) : Depuis le début, c’est un univers en expansion et on n’aurait jamais pensé faire autant de tomes.

Benoît Ers (dessinateur) : Nous, on souhaite aller jusqu’à 12 tomes. On a une liberté totale auprès de l’éditeur qui nous a dit de raconter ce qu’on avait envie de raconter.

Vincent Dugomier : La Libération, avec toutes ses étapes : l’insurrection nationale, la libération du territoire et la réinstallation de la République. Ensuite, on veut vraiment traiter “l’après”, la reconstruction: comment retrouver une vie normale après la guerre.

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Le désormais lycée Missak et Mélinée Manouchian à Châtenay-Malabry

Le désormais lycée Missak et Mélinée Manouchian à Châtenay-Malabry

Des lycéens massés sur le talus face à l’entrée ont suivi la totalité de la cérémonie : des lectures de poèmes d’abord, puis des prises de paroles pendant une heure environ. Enfin le dévoilement d’une plaque commémorant l’événement de ce vendredi 13 septembre 2024. Le lycée Jean-Jaurès de Châtenay-Malabry, leur lycée, est rebaptisé Missak et Mélinée Manouchian.

Les lycéens devant un parterre d’élus

Sous un ciel azur parsemé de quelques nuages cotonneux, les élèves montraient des visages en phase avec la solennité du moment. Avaient-ils en tête la voix poignante d’Arthur Teboul chantant avec Feu! Chatterton l’Affiche rouge dans la crypte du Panthéon ? L’arbre feuillu près duquel ils étaient ajoutait ses variations à celles de leurs vêtements, jeans, t-shirts blancs, chemises aux teintes pastel, vestes légères aux nuances automnales. C’était comme des touches de peinture sur une toile dans une asymétrie originale avec les tenues classiques (fonction oblige) des élus venus nombreux.

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Parution

Parution


Des dizaines de témoignages, recueillis à travers la Vendée, composent ce livre de mémoire. Celle d’un temps héroïque et déraisonnable. Les Vendéennes et les Vendéens de ce temps-là n’ont été ni meilleurs ni pires que d’autres. Mais il fallut beaucoup de courage et d’audace à une minorité pour franchir le pas de la Résistance, dans une Vendée qui, en raison de sa frontière maritime, subissait une occupation serrée, dans une Vendée dont la grande majorité des notables et d’un clergé nombreux et influent voyait en Pétain le restaurateur de l’ordre ancien. 1943 fut l’année terrible de la Résistance vendéenne. L’année de tous les espoirs avec les armes qui tombaient du ciel par les nuits de pleine lune. L’année des arrestations, suivies de déportations dont beaucoup ne reviendraient pas. L’héroïsme des uns ne fera pas oublier les délations, les exactions des autres. On a ici secouru des Juifs. On a ici dénoncé des Juifs. On a ici tondu des femmes, pratiqué des exécutions sommaires. On a dansé clandestinement, on a aimé d’amours « coupables », on a joué la comédie, sans attendre la Libération, car en tout temps, la vie, comme l’herbe folle, surgit d’elle-même. Et on a aussi combattu jusqu’au 8 mai 1945, jusqu’au dernier jour, devant les poches de Marans et de Pornic. Lien complémentaire /https://vendeeresistance.fr/temoignages/

« Les États généraux de 1945 » : le souffle libérateur de la Résistance

« Les États généraux de 1945 » : le souffle libérateur de la Résistance

L’historien Michel Pigenet retrace l’aventure humaine des « États généraux de la Renaissance » organisés par le CNR sur l’ensemble du territoire national au premier semestre 1945.

Les commémorations du 80e anniversaire de la Libération et de la fin de la Seconde Guerre mondiale tendent jusqu’ici à se concentrer sur la dimension militaire des événements et la célébration un peu abstraite de la liberté recouvrée. Pourtant, 1944 et 1945 furent bien davantage qu’une suite de batailles et tout autre chose qu’un retour à un état ancien interrompu par la guerre et les victoires fascistes. Ces années furent marquées par un élan démocratique d’ampleur proprement historique.

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Les maquisards de Lorris célébrés au Carrefour de la Résistance, 80 ans après les combats face aux Allemands

Les maquisards de Lorris célébrés au Carrefour de la Résistance, 80 ans après les combats face aux Allemands

Il y a 80 ans, le maquis de Lorris (le plus important du Loiret pendant la Seconde Guerre Mondiale) était officiellement dissout. Ce dimanche 15 septembre, une cérémonie était organisée au Carrefour de la Résistance en présence de Robert Turpin, 101 ans, seul maquisard encore en vie.

Plusieurs centaines de personnes étaient présentes © Radio France – Arnaud Roszak
Une dernière cérémonie pour clôturer les célébrations autour des 80 ans de la Libération. Ce dimanche 15 septembre, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées au Carrefour de la Résistance, à Lorris, théâtre de violents combats entre les soldats allemands et les résistants loiretains à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Le 14 août 1944, plus d’une cinquantaine de maquisards sont tués. Le maquis de Lorris, qui a compté plus de 500 membres à son apogée, est dissout un mois plus tard, le 15 septembre 1944.

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L’avant-dernier quart d’heure, à la veille de l’insurrection

L’avant-dernier quart d’heure, à la veille de l’insurrection

Comment se sont déroulés les premiers temps de l’insurrection, menée par la Résistance, qui accompagnait la progression des armées alliées en 1944 ? Des résistants racontent cet « avant-dernier quart d’heure » dans l’épisode 19/20 de la série « La Résistance racontée par ceux qui l’ont faite », en 1964.

Avec
  • Pierre Villon Résistant, représentant du Front national de lutte pour la libération et l’indépendance de la France,- mouvement créé par le Parti communiste – au Conseil National de la Résistance
  • Emmanuel d’Astier de la Vigerie Résistant et compagnon de la Libération, écrivain, journaliste, militaire et homme politique français

Seconde Guerre mondiale, printemps 1944 dans la France occupée. Partout, on sait le Débarquement allié imminent. Dans les maquis les réfractaires au STO et les volontaires pour les combats de la Libération, affluent, toujours plus nombreux.

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